Apaiseton cƓur et fleuris ton Ăąme.: Deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! (French Edition) [B.F, Lilya] on Amazon.com. *FREE* shipping on qualifying offers. Apaise ton cƓur et fleuris ton Ăąme.: Deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! (French Edition)
Animation de mĂ©ditations pour enfants et adultes Les mĂ©ditations pour enfants portent l’enfant Ă  une plus grande confiance en lui. Elles font briller l’espoir dans ses yeux. Elles sont prĂ©sentĂ©es sous forme d’histoires racontĂ©es dans lesquelles il est l’acteur principal. Ces mĂ©ditations suscitent l’imaginaire de l’enfant l’apaisant et l’aidant Ă  prendre conscience de ses richesses intĂ©rieures. L’enfant apprend Ă  s’apporter bien-ĂȘtre et rĂ©confort et un sentiment de sĂ©curitĂ© s’installe tout naturellement en lui. Les parents sont les bienvenus dans les mĂ©ditations pour enfants et ils apprĂ©cient y ĂȘtre. Leur enfant intĂ©rieur en bĂ©nĂ©ficie. De plus, le fait de partager ce type de mĂ©ditation avec son enfant permet de recrĂ©er ce type d’image par la suite lors de l’accompagnement au coucher ou lors de moments plus difficiles vĂ©cus durant la journĂ©e. Les mĂ©ditations pour adultes permettent de s’offrir une pause ressourçante, un moment douceur qui Ă©lĂšve notre Ăąme vers le meilleur pour nous. Pour ĂȘtre portĂ© Ă  avoir un plus grand amour de soi-mĂȘme et retrouver notre paix intĂ©rieure. Chaque mĂ©ditation est diffĂ©rente et apporte quelque chose de spĂ©cifique. Les mĂ©ditations pour adultes sont aussi prĂ©sentĂ©es sous forme d’histoire dont vous ĂȘtes l’acteur principal. Elles portent Ă  un plus grand Ă©veil et Ă  une meilleure conscience qui nous permettent Ă  trouver les rĂ©ponses que nous cherchons. Ces mĂ©ditations mettent une lumiĂšre sur notre chemin nous guidant vers notre meilleur Ă©panouissement. Harmonisation Ă©nergĂ©tique Tianshi et Toucher ThĂ©rapeutique en rencontre individuelle pour adultes Le Tianshi et le Toucher ThĂ©rapeutique sont deux techniques que j’offre qui procurent une dĂ©tente absolue et qui apaisent l’ñme. Le Tianshi est une combinaison du Reiki, Tzifa, PolaritĂ© entre autres sous la guidance des anges et des guides. Cette approche douce vous donnera l’impression de recevoir un massage de l’ñme et vous alignera avec votre coeur. Elle vous offre un sentiment de bien-ĂȘtre et de lĂ©gĂšretĂ© qui se poursuit aprĂšs la scĂ©ance. J’ajoute Ă  ce rĂ©confort une mĂ©ditation personnalisĂ©e en dĂ©but de scĂ©ance qui vous aidera Ă  vous centrer. Cette harmonisation Ă©nergĂ©tique ressourçante vous dirigera tout droit vers votre Ă©panouissement en mettant une lumiĂšre sur votre chemin. Par les visualisations et les images que vous recevrez, un sens sera donnĂ© Ă  ce que vous vivez pour permettre graduellement qu’un lĂącher-prise s’installe et que des rĂ©ponses montent Ă  la conscience. Le message Ă©crit que vous recevez vous offre l’apaisement et le rĂ©confort du coeur tout ent douceur. L’utilisation de pierres, d’huiles dynamisĂ©es, bol tibĂ©tain et carillon ajoutent aussi aux bienfaits de l’harmonisation. À quoi ressemble une rencontre individuelle avec un enfant Un conte personnalisĂ© que j’ai Ă©crit spĂ©cifiquement pour votre enfant est utilisĂ© durant la rencontre. Ce conte traite de la dynamique de l’enfant ou de ce qui est important Ă  travailler, pour lui, pour son meilleur bien-ĂȘtre. Le parent peut ĂȘtre prĂ©sent durant la sĂ©ance. L’harmonisation Ă©nergĂ©tique se fait par le biais de la visualisation. Je guide l’enfant dans l’imaginaire pour l’amener Ă  se dĂ©poser et Ă  ĂȘtre prĂȘt Ă  recevoir le meilleur pour lui. Cette visualisation le porte Ă  aller chercher exactement ce dont il a besoin en lui, Ă  aller puiser dans ses forces. Puis, l’enfant est invitĂ© Ă  explorer un coffre aux trĂ©sors gĂ©ant qui est le symbole de ses richesses intĂ©rieures et de ce qu’il porte dans son cƓur. Votre enfant repart avec des moyens concrets Ă  utiliser Ă  la maison ou Ă  l’école et son conte thĂ©rapeutique que vous pourrez lui relire. Cette expĂ©rience complĂšte augmentera sa confiance en lui-mĂȘme, lui donnera l’espoir en ses capacitĂ©s et possibilitĂ©s. Il se verra capable de trouver de nouvelles ressources en vivant cette sĂ©ance qui sera pour lui, un plaisir durant lequel, paix et bonheur au coeur sont Ă  l’honneur. Les contes sont Ă©crits de façon intuitive. Je me centre sur les besoins de l’enfant pour les crĂ©er. Ils permettent de rĂ©soudre une situation qui serait difficile Ă  surmonter autrement parce que l’enfant se sent profondĂ©ment compris et entendu par ce conte. Il lui est expliquĂ© pourquoi il a envie de se comporter ainsi, ce qui le motive intĂ©rieurement et comment aller chercher rĂ©ponse Ă  son besoin autrement. Il se sent donc apaisĂ© et rassurĂ© par son histoire personnalisĂ©e. C’est Ă  ce moment que des choses merveilleuses se produisent. CD de mĂ©ditation et relaxation pour enfants et pour adultes Écoutez un extrait en cliquant sur l’image DĂ©couvrezune expĂ©rience communautaire d'Ă©criture et de lecture unique au monde. Ici, ce sont les lecteurs qui choisissent les prochains best-sellers ! Fyctia. Utilisateurs suivis: Emygane 30 AbonnĂ©s 96 Abonnements 1 Story 0 Publication Hello, moi c'est MĂ©gane, bientĂŽt 24 ans, enseignante le jour, et Ă©crivaine la nuit. Fan de Kit-Kat white et de voyage, j'Ă©cris pour m'Ă©vader
Vous trouverez tous les liens pour vous procurer mes livres sur les diverses plate-formes de vente du net liste non exhaustive, en bas de cette page. J'AI ENTENDU RESPIRER LES COULEURS Roman Editions Hugues Facorat Un ouvrage tout en fuites en retrouvailles, de non-dits en malentendus, ce chassĂ©-croisĂ© de l'amour va les mener Ă  rencontrer le hasard parfois si bizarre, la poĂ©sie et ses feuilles blanches, la mythologie et ses signifiants, la misĂšre qui a tant Ă  nous enseigner, mais aussi un roman Ă©nigmatique dans une vitrine et... un carton qui n'a jamais Ă©tĂ© ouvert. Ce cheminement au pays des couleurs et cette lutte incessante contre le hasard leur permettront-t-ils de libĂ©rer un secret de famille ? Un livre oĂč chaque teinte a un message Ă  dĂ©voiler. Un livre oĂč la couleur est plus forte que le langage. LES ABYSSES D'UN SONGE Roman Editions TerriciaĂ« Mig, Ă©minent chercheur en gĂ©nĂ©tique, fait toutes les nuits inexorablement le mĂȘme rĂȘve qui s'Ă©tire et se prĂ©cise un peu plus chaque le fil de ses songes, il va rencontrer Enya prisonniĂšre d'une tour de verre et vivre des aventures oniriques qui lui laisseront un Ă©trange goĂ»t de que ses songes lui dĂ©voileront l'ultime mission de sa vie, il va lutter pour ne pas se dĂ©connecter totalement de la sa collaboratrice et amie, assistera, souvent dĂ©semparĂ©e, Ă  son errance entre ces deux mondes et tentera de l'aider Ă  lutter contre les piĂšges de ses chimĂšres quand le sablier de ses rĂȘves est retournĂ©, plus rien ne compte pour vraie vie va t'elle finir par lui Ă©chapper ?Parviendra-t-il Ă  sortir indemne de ce monde clos les abysses d'un songe, sans y brĂ»ler les ailes de son Ăąme ?Quand l'imaginaire devient rĂ©el et que le rĂ©el devient imaginaire...AprĂšs avoir lu ce livre vous ne rĂȘverez plus jamais comme avant !ON VOIT TELLEMENT DE CHOSES QUAND ON FERME LES YEUX.ï»żï»żï»żï»żï»ż ASTERIA RUBENS Roman Editions Un, deux, trois, quatre, cinq, cinq ĂȘtres humains, cinq personnalitĂ©s,pĂ©tris d'amour, de faiblesse, de beautĂ© et de vie Sung, Sunnivan, Moana, Iloane, Terran, partis en voyage Ă  l'autre bout du globe, se retrouvent dans un monde paradoxalement troublant. Au fil des pages, le futur, le passĂ© et la rĂ©alitĂ© alternative des personnages s'entrecroisent, les liens de l'imaginaire et ceux du rĂ©el se trament en une Ă©trange toile de fond. Le lecteur, retrouvant des fragments de son Ăąme dans chaque personnage, va s'identifier Ă  eux et affronter le doute qui mĂ»rit inexorablement. Il craindra alors ne jamais rĂ©pondre Ă  ses interrogations et pourtant il essaiera car nul choix ne lui sera laissĂ©. AU VESTIAIRE DES ANGES Recueil de poĂ©sies de ma plume Editions Hugues Facorat Ces mots tus faisaient rĂ©sonner le silence. ChuchotĂ©s tout bas Ă  l'oreille de l'absence, Au creux du nĂ©ant ils prenaient alors racines Pour finir par fleurir un jour de façon divine. Extrait de Elle avait entendu ses cris silencieux. LES DERNIERS SENTIMENTS CATHARES Roman sur fond historique Editions Au Pays RĂȘvĂ© / Ovadia Elle est libraire dans l'Aude, spĂ©cialisĂ©e dans les vieilles Ă©ditions sur l'Ă©poque cathare. Il est journaliste pour une revue historique en Provence et doit rĂ©diger un article sur Dame Esclarmonde de Foix. Ils ne se sont jamais croisĂ©s, ils ne se sont jamais parlĂ©s. Albane et Alex n'ont aucunes prĂ©dispositions Ă  se rencontrer. Et pourtant, les lointains temps cathares vont les amener Ă  correspondre par lettres. Ces lettres Ă©changĂ©es vont trĂšs vite mĂȘler leurs recherches historiques au ton de l'Ă©panchement et de la confidence. Les longues nuits Ă  rĂ©flĂ©chir, leurs solitudes confrontĂ©es, tous leurs mots dĂ©livrĂ©s attendus chaque jour Ă  l'heure du facteur, leurs paragraphes de dispute, leurs lignes de mises au point, leurs pages de rĂ©conciliations vont voir fleurir leurs sentiments et les amener Ă  se rencontrer dans leur vie et Ă  s'avouer leur amour. Est-ce vraiment le hasard qui les a poussĂ© l'un vers l'autre ? CLIMAT SUR MESURE au soleil du septiĂšme sous-sol Thriller scientifique et historique Editions Au Pays RĂȘvĂ© / Ovadia Portugal Elea, mĂ©tĂ©orologue, membre actif de la confrĂ©rie de Coimbra. Antonio, historien en charge de la traduction d'un Ă©trange manuscrit New-York Merik, ocĂ©anologue climatologue aux yeux bleus PlanĂšte la Terre TempĂ©rature en chute vertigineuse De la Maison Blanche Ă  la traversĂ©e Ă©pique d'une New-York en perdition, de courbes sismiques en tempĂ©ratures nĂ©gatives, de vitraux de cathĂ©drale en dĂ©sordre mondial Ă  Ă©viter, leurs routes vont se croiser, leurs cƓurs vont se parler. C'est au cours d'un pĂ©riple de la derniĂšre chance et Ă  travers le Manuscrit des Reines revenu du fin fond des siĂšcles, qu'ils apprendront Ă  apprĂ©hender leur nouveau monde et Ă  le prĂ©server. Une histoire d'amour dĂ©sorientĂ©e, oĂč le gel fait fondre les cƓurs... Mais aussi un thriller scientifique et historique sur le climat et l'avenir de l'HumanitĂ©... LES NEIGES ÉTERNELLES DE L'ATLANTIDE Editions Au Pays RĂȘvĂ© / Ovadia Un hĂ©ritage inattendu
 Un voyage au Portugal
 Un Ă©trange mĂ©daillon
 Un accident prĂ©mĂ©dité  Une page d’Histoire qui se rĂ©vĂšle
 Un alphabet inconnu
 Un bateau vers l’Atlantique
 Des mercenaires espions
 Une contrĂ©e Ă©nigmatique
 Ainsi dĂ©bute une histoire extraordinaire oĂč le passĂ© et le prĂ©sent s’entrecroisent jusqu’au vertige, laissant Manoline et Victor en proie Ă  leur destin. L’amour et la peur mĂȘlĂ©s Ă  ce rĂ©cit passionnant nous amĂšnent Ă  retracer le passĂ© d’un archipel disparu il y a 12 000 ans le mythe de l’Atlantide recĂšlerait-il un fond de vĂ©ritĂ© ou existerait-il encore ? Manoline et Victor sortiront-ils indemnes de leurs aventures et parviendront-ils Ă  en tirer un enseignement pour le futur ? Cette fresque haletante d’Amour et d’Histoire fleurit sur les ruines d’un passĂ© oĂč l’oeil invisible de l’Homme Ă©tait encore ouvert sur les perceptions de son Monde. MON ARBRE À LIRE Recueil de poĂ©sies de ma plume Editions Il est Midi Christel Lacroix, auteur de plusieurs romans, vous fait dĂ©couvrir ici sa plume mots ont germĂ© Ă  l'ombre d'un arbre, juste Ă©clos pour caresser votre cƓur de lecteur et faire Ă©panouir en vous le fruit de la les a Ă©coutĂ©s chanter entre chaque nervure, adossĂ©e au tronc du chĂȘne centenaire, et vous les offre aujourd'hui emballĂ©s de papier de souhaitant une douce promenade Ă  travers cette forĂȘt improvisĂ©e, plantĂ©e de vers alexandrins et de rimes apprivoisĂ©es, sous le doux feuillage de l'amour, de la vie et de ses sentiments apaisĂ©s... CETTE ODEUR QUI FAIT TOI est plus forte aujourd'hui Essai Editions Il est Midi Parfois on se croyait immergĂ© dans un livre de science-fiction, Ă  part qu’on ne pouvait pas le refermer pour oublier. » Auteur de romans et de poĂ©sies, Christel Lacroix mĂ©lange ici les dĂ©tails de sa vie de confinĂ©e » durant la pandĂ©mie de Covid19, ses joies, ses peines, ses doutes, mais aussi ses rĂ©flexions sur le monde, des citations d’auteurs disparus ou confinĂ©s comme elle, des articles de journaux, des reportages, des sentiments exhalĂ©s ou refoulĂ©s, tissant une vĂ©ritable toile de ressentis autour de cette pĂ©riode si particuliĂšre que notre planĂšte et ses habitants ont dĂ» traverser. À travers ces pages Ă©chappatoires, Ă©crites Ă  l’encre du cƓur, elle reste Ă  l’écoute des bruits sourds et lointains que provoque le silence mortel de ce crise pandĂ©mique devient ainsi un prĂ©texte Ă  un immense essai sur ce concept si riche et inextricablement compliquĂ© nommĂ© FUTUR A DÉJÀ EU LIEU Imaginez l'inimaginable Editions Au Pays RĂȘvĂ© / Ovadia "Au cƓur d’un cercueil de verre, R3019 se rĂ©veille dans un hĂŽpital perdu dans une ville sans Ăąme, un monde sombre qui s’étale en tunnels et galeries. R3019 a perdu son nom son amnĂ©sie a voyagĂ© dans le temps et il ne se souvient plus de sa vie. Venise, sa ville natale va petit Ă  petit revenir Ă  sa mĂ©moire de façon douloureuse et rĂ©veiller des lam- beaux de souvenirs pour le confronter Ă  la dure rĂ©alitĂ© de son prĂ©sent. La reprĂ©sentation d’une cĂ©lĂšbre gravure de Flammarion va ressortir du fin fond des siĂšcles et devenir la clĂ© de son renouveau. En allant vers le soleil, le rĂȘve fou d’un espoir va germer en lui, celui de crĂ©er l’aube d’un nouveau Monde l’Amour, l’amitiĂ©, la science et l’Histoire se mĂȘleront intimement pour l’aider dans son combat pour une nouvelle HumanitĂ©, dans sa lutte contre l’obscurantisme. Cette histoire de destins croisĂ©s est un prĂ©texte Ă  une rĂ©flexion sur l’Homme et son rapport au monde. C’est un imaginaire mallĂ©able, dotĂ© d’une profonde sensibilitĂ© dont l’aventure riche en rebondissements nous garde captifs jusqu’à son ultime page. L’action de ce livre se dĂ©roule dans un futur qui n’est peut-ĂȘtre pas si Ă©loignĂ© du nĂŽtre..."DES SOURIRES ET DES HOMMESune piĂšce de Théùtre publiĂ©e auxEditions Il Est MidiPiĂšce de théùtre satirique portant sur le futurQui sont les terriens ?Peut-on les Ă©tudier ?Sont-ils des animaux particuliers ?Dans un autre monde bien loin de notre systĂšme, le professeur HypĂ©rion, passionnĂ© par la complexitĂ© des hominidĂ©s terriens, va Ă©couter avec attention les observations de VĂ©nusia, de retour de voyage de s’en suivra un jeu de questions rĂ©ponses et d’étonnements. Sous la fine carapace de l’humour, afin de filtrer certaines noirceurs de ce tableau terrien, cette comĂ©die frĂŽle parfois la satire de l’Humain et porte le public Ă  en rire, sourire, et surtout Ă  rĂ©flĂ©chir sur partie des gains liĂ©s Ă  la vente de ce livre sera versĂ©e Ă  un fond de solidaritĂ© pour le spectacle vivant créé par le ministĂšre de la Culture, suite Ă  la pandĂ©mie de BRUIT DU MONDE EST MOMENTANÉMENT FERMÉEditions Il Est MidiTRAVAIL JOURNALISTIQUE SUR LA PERIODE DU COVID ET DE LA PANDEMIELE BRUIT DU MONDE EST MOMENTANÉMENT FERMÉ RĂ©sumĂ© PandĂ©mie Covid-19 
 2020-2021 
 Une guerre ...Quand cette guerre virale » aura sonnĂ© la libĂ©ration, que son drapeau blanc s’agitera dans le ciel obscur des mĂ©dias, sempiternels adjuvants quotidiens de la peur, que ces problĂ©matiques qui nous ont volĂ©, Ă  tous, plusieurs mois de notre vie normale » ne seront plus que du passĂ©, dans ce plus tard » encore inconnu nommĂ© postĂ©ritĂ©, il sera peut-ĂȘtre alors intĂ©ressant de tenter de sortir de l’émotionnel pur et d’analyser diffĂ©remment la Christel Lacroix a abordĂ© le confinement de mars 2020 dans un premier essai intitulĂ© Cette odeur qui fait toi est plus forte aujourd’hui ».Elle a voulu ici poursuivre ses rĂ©flexions sous la forme d'un journal de bord abordant les mois de crise pandĂ©mique qui ont suivi, de aoĂ»t 2020 Ă  mai 2021. C’est dans cet ultime but que l’auteur a souhaitĂ© ici donner aux lecteurs la continuitĂ© de l’analyse, jour aprĂšs jour, au moyen d’articles publiĂ©s dans diffĂ©rents mĂ©dias, de rĂ©actions Ă  vif de certains acteurs de l’actualitĂ© scientifiques, docteurs, acteurs, chanteurs, philosophes, ou simplement humains parmi d’autres humains, de citations d’auteurs disparus ou encore en vie, d’écrits pseudo-prĂ©monitoires, d’articles scientifiques mĂȘlĂ©s Ă  ses propres ressentis. Ce livre est lĂ  pour poursuivre l’analyse d’un Monde et d’un temps qui nous auront laissĂ© des cicatrices Ă  tous. Ce livre est lĂ  en tant que mĂ©moire da Vinciaux Éditions Il Est MidiSĂ©lectionnĂ© pour le Prix Machiavel du roman, Prix littĂ©raire du Cercle Leonardo da Vinci 2022PrĂ©sentationUne histoire d’humanitĂ© dans un monde dĂ©shumanisĂ©Ce roman mĂ©lange habilement le thĂšme de l’intelligence artificielle et des manipulations gĂ©nĂ©tiques, formant le pivot de son formidable histoire d’amour, improbable et inattendue, va germer au delĂ  des limites de l’ Impossible » va s’inviter, adoucissant cet univers technologique et lecteur se demandera alors oĂč peut bien se cacher cette frontiĂšre si fragile entre l’envisageable et l’ roman d'un nouveau genre, un livre surprenant oĂč le romanesque rencontre la science. Une histoire qui nous met en face de la grande question de la condition humaine et des consĂ©quences des progrĂšs de l'Ă©diteurCe roman est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la catĂ©gorie "science-fiction". Mais Ă  bien y rĂ©flĂ©chir, n’est-il pas du domaine du probable ?S’y croisent de nombreuses rĂ©fĂ©rences historiques, scientifiques et Ă©videmment une belle histoire d’Amour oĂč la poĂ©sie s’en mĂȘle pour arrondir les angles saillants de la roman traite de l’intelligence artificielle et du transhumanisme. Une formidable histoire d’amour va y germer entre le hĂ©ros du roman, un peu perdu, et une belle androĂŻde Ă  la pointe de l’humanisation. Un professeur humaniste et un professeur dĂ©moniaque dessineront leur avenir Ă  l’éprouvette de leurs folies... Le lecteur, une fois la premiĂšre page tournĂ©e, se posera la question de la frontiĂšre entre l’envisageable et l’impensable jusqu’au point final, et sĂ»rement bien LACROIX chercheuse curieuse ascendant rĂȘveuse a d’abord explorĂ© l’univers des sciences. Son doctorat de recherche pharmaceutique en poche, et quelques coups d’Ɠil dans le microscope plus tard, elle se rend compte que l’envie d’écrire a germĂ© dans son de ses romans est conçu de façon Ă  susciter la rĂ©flexion du jeu favori mĂȘler subtilement les mondes ou les Ă©poques afin que le rĂ©el n’apparaisse jamais tel qu’on peut le sur cet entre deux mondes, mais aussi poĂšte Ă  la belle Ă©toile, elle espĂšre qu’une fois le livre fermĂ©, le lecteur, Ă  son tour, parte en quĂȘte du sens cachĂ© de l' de Jean-Louis Riguet chronique de Jean-Louis Riguet Ce que je pense de Perla da Vinci Le thĂšme abordĂ© par ce livre n’est pas celui que je lis habituellement. Je l’ai donc commencĂ© par une certaine apprĂ©hension. Allais-je rentrer dans l’histoire ? Finalement, j’ai lu jusqu’au bout et je n’ai pas manquĂ© un seul ne sais pas si j’aimerais vivre dans ce monde dĂ©shumanisĂ© qui mĂ©lange robot et humain. Pourtant, il s’agit d’une histoire d’amour entre un ĂȘtre et une machine, un ĂȘtre qui se veut en partie robot et une machine qui aspire Ă  disposer d’une part humaine. Un amour impossible, improbable, inattendu, entre Garry, un journaliste mĂ©dical, qui tombera amoureux Ă©perdu de PL0319 qui deviendra Perla, une humanoĂŻde créée dans un nous propose ce challenge, une histoire d’humanitĂ© dans un monde dĂ©shumanisĂ©. Elle semble Ă  l’aise dans ce mĂ©lange de l’intelligence artificielle et des manipulations gĂ©nĂ©tiques. Elle se trouve Ă  la limite de l’éthique habituellement professeur, un peu fou et terroriste, arrivera-t-il Ă  implanter des systĂšmes pour humaniser le robot en s’inspirant du Codex Vinci Atlanticus de LĂ©onard de Vinci, au grand dam de son confrĂšre crĂ©ateur de cet humanoĂŻde ?Garry et Perla s’aimeront-ils ? Engendreront-ils ?Ce livre pose des questions sur la frontiĂšre entre l’envisageable et l’ sort diffĂ©rent de cette lecture se fait facilement et j’y ai pris un certain plaisir. Je le recommande pour les amateurs du futurisme, de l’intelligence artificielle et des manipulations gĂ©nĂ©tiques, mais aussi Ă  ceux qui aiment les histoires d’amour particuliĂšres."La chronique de Catherine Herbet chronique de Nathalie GlĂ©varec Livres en collectifs d'auteurs auxquels j'ai participĂ© LES CYGNES DE L'AUBE Collectif de poĂštes du monde Editions Lire et MĂ©diter LETTRAE VOX Collectif de poĂ©sies Editions de l'ArgilĂšte SHORT STORIES N°13 Collectif de nouvelles en tĂ©lĂ©chargement Editions de La MatiĂšre Noire L'ELIXIRE 8 LES CYGNES DE L'AUBE Collectif d'auteurs Collectif de poĂštes du monde Editions Robin Editions Lire et MĂ©diter CONCOURS DES NOUVEAUX ANTHOLOGIE POETIQUE AUTEURS 2014 de FLAMMES VIVES Collectif de nouvelles Collectif de poĂštes Editions Plume Direct Edition Flammes Vives Recueil collectif de poĂšmes "SociĂ©tĂ© des PoĂštes et Artistes de France" et "Dialoguer en PoĂ©sie" Anthologie PoĂšmes du confinement Etrave La Nouvelle Pléïade un collectif de poĂštes sans frontiĂšres lien Ă©diteur pour j'ai entendu respirer les couleurs lien Ă©diteur pour concours des nouveaux auteurs 2014 lien Ă©diteur pour l'Anthologie poĂ©tique de Flammes Vives lien Ă©diteur pour Les derniers sentiments Cathares lien Ă©diteur pour les neiges Ă©ternelles de l'Atlantidelien Ă©diteur pour cette odeur qui fait toi est plus forte aujourd'hui Vous pouvez Ă©galement me demander directement un exemplaire dĂ©dicacĂ© sur messagerie Facebook dans mon profil auteur Vous pouvez enfin le commander directement chez votre libraire prĂ©fĂ©rĂ© FUTURS LECTEURS, JE VOUS DIS A TRES BIENTOT ....
9mars 2022 - Apaise ton cƓur et fleuris ton Ăąme.: Deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! : B.F, Lilya: Amazon.fr: Livres. 9 mars 2022 - Apaise ton cƓur et fleuris ton Ăąme.: Deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! : B.F, Lilya: Amazon.fr: Livres. Pinterest. Aujourd'hui. Explorer . Lorsque les rĂ©sultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flĂšches Haut et Bas
Les jours rallongent, les tempĂ©ratures radoucissent, les premiers bourgeons ont Ă©clos, le soleil est radieux. Plus de doute, le printemps est bien lĂ . Avec ce renouveau de la nature, les envies de dĂ©coration et de rĂ©amĂ©nagement pointent le bout de leur nez. On a envie de lumiĂšre, de fleurs, de verdure, de clartĂ©. Et si vous en profitiez pour changer de dĂ©cor ? Un nouveau tapis ? Un nouveau meuble ? Changer l’amĂ©nagement des meubles existants ? Tout est possible. Un nouveau papier peint peut se prĂ©senter comme une trĂšs bonne solution Ă  moindre coĂ»t pour changer radicalement l’ambiance de votre intĂ©rieur. Qui dit printemps dit fleurs. Intemporelles, qu’elles soient petites ou en grand format, sur fond clair ou foncĂ©, les fleurs apporteront automatiquement une touche bucolique, romantique et fĂ©minine Ă  votre intĂ©rieur. Salon, entrĂ©e, couloir, chambre, elles peuvent ĂȘtre posĂ©es dans toutes les piĂšces de la maison. Dans des coloris sombres comme le bleu nuit ou le vert foncĂ©, les papiers peints fleuris vĂ©hiculent une ambiance davantage contemporaine, quand les coloris plus clairs laissent entrer la fraĂźcheur et l’authenticitĂ©. Nous en avons sĂ©lectionnĂ© 35 parmis les nouveautĂ©s et les best-sellers des Ă©diteurs des papiers peints et des dĂ©cors fleuris dans diffĂ©rentes couleurs issus des derniĂšres collections de Cole and Son, Wall and Deco, MissPrint, Borastapeter, Rebel Walls, Sandberg, Nobilis et Les Dominotiers. Il ne vous reste plus qu’à choisir ! DĂ©couvrez notre sĂ©lection de 35 papiers peints fleuris printaniers Nos papiers peints et dĂ©cors panoramiques fleuris sur fonb blanc ou clair DĂ©cor panoramique sur mesure Botanical Garden, Collection Volume 4 des Dominotiers Un sublime jardin intĂ©rieur poĂ©tique et apaisant inspirĂ© des planches d’aquarelles botaniques, oĂč les plantes et les fleurs vivent en harmonie, tel est notre dĂ©cor Botanical Garden. Disponible sur mesure. ©Aude Jolijour DĂ©cor panoramique Peonies de la collection Volume 4 des Dominotiers Peonies est un magnifique dessin de pivoines en trĂšs grand format parmi lesquelles volent des petits papillons. Avec ses tons roses et verts et ses traits de crayons apparents, ce papier peint panoramique sur mesure est trĂšs fĂ©minin et dĂ©licat. Ses grosses fleurs lui donnent un caractĂšre contemporain. DĂ©cor panoramique May Meadow, Pastel, Rebel Walls Une jolie prairie sauvage typique du printemps, ici dans des couleurs pastel, qui Ă©gayera votre mur. Ce dĂ©cor mural est un choix idĂ©al pour une chambre de petite fille. Il existe Ă©galement dans des couleurs plus vives. DĂ©cor panoramique sur mesure Cascade, Wall & Deco RĂ©alisĂ© par Christian Benini, le dĂ©cor mural Cascade met en scĂšne des grosses fleurs roses avec leurs feuilles vertes sur un fond gris avec un effet de matiĂšre qui rappelle les murs en bĂ©ton usĂ©. Ce dĂ©cor est uniquement disponible en sur mesure, vous pouvez le commander en boutique ou par mail Ă  l’adresse [email protected]. Sur notre site, vous pouvez commander une intĂ©gration. DĂ©cor panoramique Springtime, Rebel Walls Avec ses grandes fleurs rose qui fleurissent aux deux extrĂ©mitĂ©s du dĂ©cor, le dĂ©cor mural Springtime est comme son nom l’indique le printemps incarnĂ©. Ce dĂ©cor mural existe Ă©galement avec une seule fleur. DĂ©cor mural Chinoiserie Chic de Rebel Walls Le dĂ©cor panoramique Chinoiserie chic», est une jolie collaboration de Rebel Walls et Diane Hill qui met en scĂšne des arbres, des oiseaux et des papillons. DĂ©cor panoramique Similiraties de Rebel Walls Le papier peint Similarities de Rebel Walls est frais avec ses petites fleurs printaniĂšres graphiques. Il conviendra facilement Ă  toutes les piĂšces et s’harmonisera aisĂ©ment Ă  une dĂ©coration Ă©purĂ©e de type scandinave. Papier peint aquarellĂ© Lo - Collection OAS de Sandberg Ce superbe papier peint Ă  l’quarelle met en scĂšne des coquelicots dĂ©licats pour une ambiance fĂ©minine et romantique. Il se dĂ©cline en 3 coloris sur notre site internet. Papier peint Thistle Carduus de la collection Botanical-Botanical de Cole and Son Le papier peint Thistle de la collection Botanical ~ Botanica de Cole and Son met en scĂšne des chardons aux feuilles gĂ©omĂ©triques qu'on imagine sans peine tranchante. La beautĂ© non conventionnelle de cette fleur crĂ©e ici un papier peint fleuri original. Le choix du rĂŽse albatre, un vieux rose soutenu, combinĂ© Ă  du orange est un pari rĂ©ussi. Ce papier peint est disponible dans deux autres coloris. Papier peint French Roses de la collection In Bloom de Borastapeter Sur un dĂ©licat fond beige, un treillis de roses Ă  la française grimpe dĂ©licatement sur vos murs. Ce motif floral est inspirĂ© d'une illustration vibrante et colorĂ©e de 1845. ElĂ©gant et romantique, French Roses se dĂ©cline dans 3 autres coloris. Papier peint Midsummer Eve de la collection Falsterbo III de Borastapeter Le papier peint Midsummer Eve de Borastapeter est un vĂ©ritable souffle printanier avec ses motifs composĂ©s d'une multitude de fleurs gaiement colorĂ©es parmis des feuilles vertes sur un fond blanc. Ce papier peint saura apporter un air romantique et frais Ă  votre intĂ©rieur. Il se dĂ©cline Ă©galement sur fond noir pour une ambiance plus contemporaine. Papier peint Spring Garden de la collection In Bloom de Borastaper InspirĂ© par la beautĂ© extravagante des champs de fleurs printaniers, le papier peint Spring Garden regorge d'une flore riche et variĂ©e, allant des tulipes dĂ©licatement fermĂ©es au jolies grappes de clochettes de muguets. Magnifiquement dessinĂ© et plein de caractĂšre, Spring Garden dĂ©core avec fraĂźcheur et charme un intĂ©rieur. Il se dĂ©cline dans deux autres coloris. Papier peint Garden, Maison Martin Morel Ce motif floral a Ă©tĂ© créé en 1960 par Martin Morel. ChampĂȘtre et lĂ©ger, le printemps s’installera dans votre intĂ©rieur, pour vous envelopper dans un Ă©crin de fraĂźcheur. Papier peint Sweat Pea, Collection Botanical-Botanica de Cole and Son Plein de grĂące avec ses pois de senteur, le papier peint Sweet Pea est rééditĂ© dans ses couleurs best-sellers. On imagine parfaitement ce papier peint dans une cuisine, ou dans une chambre, dans une maison de campagne ou une maison de ville au charme ancien. Retrouvez ce papier peint dans 5 autres coloris sur notre site internet. Papier peint Bougainvillea de la collection Seville de Cole and Son Les fleurs de Bougainvillea fleurissent et recouvrent les façades, les parcs et les avenues de SĂ©ville. Le fond crĂšme de ce papier peint de la toute derniĂšre collection de Cole and Son se pare de magnifiques petites fleurs orange et rouges peintes Ă  l'aquarelle, accompagnĂ©es de dĂ©licates feuilles vertes. Ce sublime papier peint Ă  l’aquarelle se dĂ©cline dans 3 autres somptueux coloris Papier peint Lilac de la collection Botanica - Botanical de Cole and Son De la couleur tout en douceur, tel est le papier peint Lilac Syringa Vulgaris de Cole and Son, issu de la collection Botanical - Botanica sortie en septembre 2018. Sur un fond bleu clair lumineux, les fleurs du lilas, ici colorĂ©es en jaune citron et en vert olive prennent vie. Une splendide interprĂ©tation dessinĂ©e Ă  la main par les studios de l'Ă©diteur britannique qui Ă©gayera votre intĂ©rieur dans des tons originaux. IdĂ©al pour une chambre ou une salle de bain, ce papier peint existe dans trois autres coloris. Papier peint Meadow de la collection Pioneer de MissPrint Une lumineuse prairie de pissenlits dessinĂ©e Ă  la main, de couleur noire et blanche sur un fond jaune lumineux, tel est le papier peint Meadow de MissPrint. Un clin d'Ɠil Ă  nos fleurs sauvages qui saura parfaitement illuminer votre chambre, votre salon, ou votre couloir. Ce motif est disponible dans 3 autres coloris. DĂ©cor panoramique Tendres Silences de la collection Soleil Levant d’Elitis Le dĂ©cor panoramique Tendres silences de l'Ă©diteur Elitis nous plonge dans une composition florale apposĂ©e sur un fond lumineux gris et dorĂ©. Ce dĂ©cor trouvera parfaitement sa place dans un salon et lui confĂ©rera toute sa dimension. Ce dĂ©cor panoramique est dessinĂ© au raccord, il est donc rĂ©pĂ©table Ă  l'infini. Il se dĂ©cline dans 2 autres coloris. Nos papiers peints et dĂ©cors panoramiques fleuris verts Papier peint Narcisse de la collection Cosmopolitan 3 de Nobilis Le papier peint fleuri Narcisse de Nobilis est un magnifique bouquet de fleurs qui comprend notamment des jonquilles. Dans son coloris rouge et vert, ce papier peint s'inscrit dans la tendance actuelle des papiers peints Ă  fleurs assez sombre. L'alliance du rouge et de ce vert profond est tout simplement parfaite. On imagine parfaitement ce papier peint dans une cuisine contemporaine et poĂ©tique Ă  la fois. Narcisse existe dans 5 autres coloris. DĂ©cor panoramique Unfading Flowers Colossal de Rebel Walls Ce magnifique dĂ©cor mural de Rebel Walls est le rĂ©sultat d’une collaboration entre l’artiste Jessica Pezalla et son collectif d’art Bramble Workshop avec le Museum of American Art Crystal Bridges. Papier peint Jasmine and Serin Symphony de la collection Seville de Cole and Son Le motif du papier peint Jasmine and Serin Symphony convoque le style Art Nouveau avec ses rinceaux de jasmin et son feuillage qui s'entrelacent dans un coloris rose, vert et beige sur un fond noir. De magnifiques duos d'oiseaux sont prĂ©sents et apportent vie au papier. Il est proposĂ© dans 3 autres coloris. Papier peint Malin de la collection OAS de Sandberg Malin est un splendide papier peint fleuri sur lequel sont dessinĂ©es des fleurs de sureau. TrĂšs dense avec son feuillage, cette fleur toute petite est notamment mise en valeur par sa couleur rose pĂąle, qui ressort merveilleusement entre le feuillage d’un vert trĂšs profond et le fond noir du papier peint. Autre particularitĂ© de ce papier peint les traits de dessins sont laissĂ©s visibles, ce qui lui donnent un cĂŽtĂ© dessin trĂšs joli et frais. Ce modĂšle, qui fait partie de la collection OAS de Sandberg, se dĂ©cline en 3 coloris. Papier peint Snowdrops, Collection Seven Sisters de MissPrint MĂȘme si le papier peint vintage Snowdrops met en scĂšne des perce-neige dessinĂ©s de maniĂšre graphique par MissPrint, il possĂšde un air printanier et un vrai souffle de fraĂźcheur. En vert foncĂ©, il a touche contemporaine. Ce papier peint se dĂ©cline en 4 coloris. Papier peint Rabarber, Collection Scandinavian Designers, Borastapeter Le papier peint Rabarber est un classique de l’éditeur suĂ©dois Borastapeter. Ses couleurs vives, dĂ©clinĂ©es sur fond vert ou sur fond blanc, sont un vrai bouquet de fraĂźcheur, telle une promenade printaniĂšre dans la campagne. Photo Madabouthehouse chez Sophie Robinson / Instagram. Papier peint Dahlia Garden de la collection Falsterbo III de Borastapeter ColorĂ© dans une palette de tons riche, le papier peint Dahlia Garden de la collection Falsterbo III de BorĂ„stapeter mĂȘle des nuances de vert avec des rouges et des jaunes pour dĂ©velopper une esthĂ©tique vintage remplie d'un charme rustique. Capturant la beautĂ© de la fin de l'Ă©tĂ©, ses fleurs verdoyantes et son feuillage dĂ©taillĂ© crĂ©eront un sanctuaire apaisant et harmonieux dans votre intĂ©rieur. Dahlia Garden est Ă©galement proposĂ© dans deux coloris plus clairs. Papiers peints Miroirs de l'Âme de la collection Soleil Levant d’Elitis Le papier peint intissĂ© Miroirs de l'Ăąme de l'Ă©diteur français Elitis est le printemps incarnĂ© avec branches de cerisiers aux fleurs jaunes et orange qui ressortent magnifiquement sur le fond vert du papier peint. Ce papier peint se dĂ©cline en 3 autres coloris. Nos papiers peints et dĂ©cors panoramiques fleuris bleus DĂ©cor panoramique Les Cerisiers Sauvage de la collection Soleil Levant d’Elitis AprĂšs le papier peint et son motif rĂ©pĂ©titif, voici le dĂ©cor panoramique Les Cerisiers Sauvages qui met en scĂšne des cerisiers japonais. Une vĂ©ritable bouffĂ©e d’oxygĂšne et d’air printanier qui est Ă©galement proposĂ©e dans 3 autres coloris. Papier peint Sakura de la collection Nippon de Sandberg Le papier peint Sakura de Sandberg est une reprĂ©sentation aquarellĂ©e de fleurs de cerisiers japonais, l'un des emblĂšmes du Japon. Ici, les pĂ©tales rose pĂąle laissent apparaĂźtre un coeur cuivrĂ© et ressortent intensĂ©ment sur le fond bleu foncĂ© du papier peint. PoĂ©tique et doux, ce papier peint pourra dĂ©corer une chambre ou un salon. Il se dĂ©cline dans deux autres coloris dont un magnifique rose pĂąle. Papier peint Angel’s Trumpet de la collection Seville de Cole and Son Le papier peint Angel's Trumpet de Cole and Son met en scĂšne la trompette des anges, une plante originaire d'AmĂ©rique du Sud, ici dessinĂ©e Ă  la main. Ce papier peint se dĂ©cline dans trois autres sublimes coloris. Papier peint Ingrid Marie de la collection Falsterbo III de Borastapeter Avec le papier peint Ingrid Marie de l'Ă©diteur BorĂ„stapeter, un pommier vous livre ses secrets en vous dĂ©voilant ses plus belles fleurs et ses sublimes fruits blancs et orangĂ©s parmi un Ă©lĂ©gant et fin branchage. Ce dessin dĂ©licatement posĂ© sur fond bleu foncĂ© apportera de la douceur et du caractĂšre Ă  votre intĂ©rieur. Ingrid Marie existe aussi sur fond blanc. Papier peint Wildflower de la collection Pioneer de MissPrint Le papier peint Wildflower de MissPrint met en scĂšne une fleur sauvage. Un magnifique fond bleu nuit presque noir composĂ© d'un seul et mĂȘme motif floral dessinĂ© Ă  la main de couleur bleue et corail. Wildflower conviendra parfaitement Ă  la chambre d'un enfant, d'un salon ou d'un couloir. Il est Ă©galement proposĂ© en jaune, en blanc et et en vert. Papier peint Ava de la collection Familj II de Sandberg Ce papier peint fleuri est l’un des best-sellers de Sandberg avec ses fleurs toutes en rondeurs, dĂ©licates, raffinĂ©es et romantiques, et ses jolies arabesques rappelant le style Art Nouveau. Dans ce coloris bleu nuit, nous le trouvons sublime, mais il se dĂ©cline dans 4 autres coloris Ă  retrouver sur notre site. Papier peint Alicia de la collection Vart Arkiv de Borastapeter Tirant son nom de la cĂ©lĂšbre actrice suĂ©doise Alicia Vikander, le papier peint Alicia est un superbe motif composĂ© de grosses fleurs roses et jaunes qui ressortent majestueusement sur un fond bleu nuit. Ce papier peint trĂšs Ă©lĂ©gant et romantique s’inscrit parfaitement dans la tendance des grosses fleurs. Contrairement Ă  Ava prĂ©sentĂ© ci-dessus, ses fleurs et les feuillages sont moins “arrondis”. Alicia se dĂ©cline dans 4 autres coloris sur notre site. Papier peint Peony de la collection In Bloom de Borastapeter Le papier peint Peony fait partie de la collection In Bloom de Borastapeter, uniquement consacrĂ©e aux fleurs. Sur un fond bleu sarcelle, de magnifiques pivoines en fleurs blanches viennent Ă©clore. Ce papier peint trĂšs prĂ©sent par son motif s’inscrit dans la tendance des grosses fleurs, qu’on disposera de prĂ©fĂ©rence sur un seul pan de mur pour plus de modernitĂ©. Peony se dĂ©cline dans 3 autres coloris disponibles sur notre site internet. Papier peint Chestnut Blossom de la collection In Bloom de Borastapeter InspirĂ© par la beautĂ© dĂ©licate des fleurs de chĂątaigniers, le papier peint Chestnut Blossom s'inspire d'une esthĂ©tique archaĂŻque, avec une imagerie stylisĂ©e, tout en ajoutant un accent contemporain. Sur un fond bleu marine intense, des fleurs et feuilles de chĂątaigniers dĂ©licats sont apposĂ©s. Habilement travaillĂ©, ce revĂȘtement mural apportera une touche sophistiquĂ©e Ă  n'importe quelle piĂšce de la maison.
PhotoP.A.M. (affichĂ© dans le jardin du musĂ©um d’histoire naturelle , c’est une maman gorille 🙂 c’est presque moi 🙂 . Il parait que Volodymyr Zelenski et Vladimir Poutine Ă©taient presque arrivĂ©s Ă  un accord il y a 48 ou 72 heures (6 points litigieux sur 7 avaient Ă©tĂ© validĂ©s), et puis il y a eu les massacres de civils , une dĂ©solation, venus Ă  la connaissance du
13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 2359 Roberta Invernizzi UPDATE de cet article ici C'est sans doute la plus grande soprano baroque vivante, de Monteverdi Ă  Haydn, rien ne lui rĂ©siste une large tessiture, un sens inouĂŻ de la coloration, des aigus fulgurants, une virtuositĂ© Ă  tout Ă©preuve et surtout une dĂ©licatesse dans le phrasĂ©, un art de dynamiser le verbe par l'esprit qui n'appartient qu'Ă  elle. Si l'on ajoute que la discographie de la dame est immense, on s'Ă©tonne que son talent soit si peu reconnu sur scĂšne et qu'elle demeure si peu connue du grand public. Pour tenter de rĂ©parer cette injustice criante, un cavalier qui surgit hors de la nuit, cours vers l'aventure au galop, son nom il le signe Ă  la pointe de son clavier, d'un L qui veut dire Lici! DISCOGRAPHIEaccrochez-vous, c'est long! Evidemment je ne connais pas le quart de sa discographie, et parmi ce que je possĂšde, j'ai du Ă  peine en Ă©couter la moitiĂ© attentivement car elle a beaucoup enregistrĂ© de musique du XVIIĂšme siĂšcle qui me passionne moins; c'est surtout par ses live que je la connais dans la seconde partie du portrait. Ainsi, pour Ă©viter les rĂ©pĂ©titions, je ne commenterai que le peu de disques que j'ai pu Ă©coutĂ© soigneusement - les commentaires exterieurs sont naturellement les bienvenus pour remplir les trous! Comme d'habitude, je souligne les disques qu'il me semble prioritaire d'Ă©couter pour dĂ©couvrir ses qualitĂ©s. Je ne mets ici aucun extrait musical, mais les plus beaux airs qui s'y trouvent sont souvent disponibles Ă  l'Ă©coute sur Youtube je vous conseille notemment la chaine de Crindoro, qui en est fan et illustre ses morceaux de superbes tableaux. *Alfonso X, Cantigas de Santa Maria *Bach, Passion selon Saint Jean - Fasolis *Bach, Messe en do - Fasolis *Bach, Magnificat & Cantates - Fasolis *Badia, La Fuite en Egypte - Florio *Battiferri, Vola de Libano *Boccherini, Stabat mater - L'Archibudelli *Buxtehude, Membra Jesu nostri - Fasolis *Caccini, Dolcissimo sospiro - Rasi *Caresana, Per la Nascita del Verbo - Florio *Carissimi, Jonas, Dives Malus, Beatus vir - Fasolis *Cavalli, La Statira - Florio Superbe disque oeuvre trĂšs Ă©mouvante, mĂȘme pour moi qui ai du mal Ă  me laisser emporter par cette musique; Florio est un chef trĂšs attentif Ă  la prĂ©cision et Ă  la plenitude du son, ainsi qu'au soutient de ses chanteurs indispensable dans ce genre d'oeuvre trĂšs dramatique. Evidemment tous les chanteurs ne sont pas aussi excellents qu'Invernizzi, Florio tournant souvent avec son Ă©quipe de chanteurs mĂ©ritants et trĂšs honnĂȘtes mais Ă  qui il manque souvent une voix plus impressionante. Si comme moi vous avez du mal avec ce repertoire, la lecture du livret Ă  l'Ă©coute me semble indispensable, sans cela et Ă  moins que vous ne compreniez parfaitement l'italien, vous louperez tout ce qui fait le charme de l'interprĂ©tation d'Invernizzi qui donne ici constemment dans la nuance et l'intention dĂ©licate. *Cavallo, Il Giudizio universale - Florio *Colonna, Nisi dominus & Mottetti - Cera *Dowland, Come away, come sweet love - Rasi *Draghi, La Vita nella morte - Coin *Durante, Lamentationes Jeremiae prophetae & Vespro breve - Fasolis *Ferrari, Il Sansone - Curtis *Fiocco, Messe - Florio *Gagliano, La Dafne - Garrido *Gossec, Grande messe des morts - Fasolis *Handel, Cantates pour le marquis Ruspoli - Bonizzoni Dommage que dans ce deuxiĂšme volume, Invernizzi chante peu de chose puisqu'elle partage les parties de soprano avec Galli, jolie soprano trĂšs agrĂ©able et investie mais qui n'a pas du tout le feu de sa consoeur pour animer ces petits opĂ©ras que sont les cantates de Handel. Cela dit je n'ai Ă©coutĂ© que partiellement ce disque et je me base surtout pour juger Galli sur sa prestation en Ange chez Scarlatti dans La Santissima Annunziata. *Handel, Cantates pour le cardinal Pamphili - Bonizzoni Superbe disque, un complĂ©ment idĂ©al Ă  celui que Kozena avait enregistrĂ© avec Minkowski la dĂ©marche est ici plus exhaustive puisque Bonizzoni a prĂ©vu d'enregistrĂ© toutes les cantates romaines quand Minkowski n'avait retenu que les plus cĂ©lĂšbres pour un disque historique. Bonizzoni et son ensemble sont excellents, un son trĂšs italien, trĂšs proche de celui de Marcon et son Venice Baroque Orchestra, avec un surcroit d'aisance harmonique qui les rapproche d'Alessandrini et son Concerto Italiano. Invernizzi est bien sur dĂ©lirante, et sait aussi bien rendre la virtuositĂ© allegrement sage d'un Tra le fiamme que la gravitĂ© du Da quel fatal giorno. *Handel, La Lucrezia & autres cantates - Retablo barocco *Handel, Floridante - Curtis *Handel, Rodrigo - Curtis *Handel, Te Deum & Dixit dominus - Fasolis *Haydn, Il Ritorno di Tobia - Spering Une trĂšs belle version d'une des plus belles oeuvres vocales de Haydn Hallenberg est boulversante, KarthaĂŒser un peu absente et Invernizzi souffre parfois d'une direction trĂšs rapide qui donne quelques vocalises un peu survolĂ©es mais le rĂŽle de l'ange est de loin le plus difficile du point de vue de la virtuositĂ©, avec des Ă©carts de tessitures importants et des vocalises aussi prĂ©cises qu'abondantes. Bref ce n'est pas parfait, mais cela reste d'excellente facture et Ă  dĂ©couvrir absolument. *d'India, Sivlio e Dorinda - Curtis *Jommelli, Don Trastullo - Florio *Jommelli, Veni creator spiritus - Florio FrĂ©dĂ©ric Le CD Jommeli-Porpora etc est une petite merveille que j'ai achetĂ© juste aprĂšs l'Olimpiade tellement Invernizzi m'a plu. Ell y est Ă©poustouflante de virtuositĂ© dans le Motet de Jomelli comme dans la cantate qui suit. ClĂ©ment J'ai ce Veni creator spiritu, c'est par ce disque que je l'ai dĂ©couverte. J'avais aimĂ©, sans ĂȘtre Ă©poustouflĂ©, Ă  l'Ă©poque. C'Ă©tait les premiĂšres publications de Florio et de la collection Tesori di Napoli. Je l'ai réécoutĂ© il y a peu elle est expressive et pleine d'esprit, jolie voix, moins appuyĂ©e dans le grave qu'aujourd'hui, ce n'est pas encore aussi personnel qu'Ă  la "maturitĂ©" disons, mais trĂšs plaisant. C'est une cantate de Sabatino qui la met le plus en avant. Il y a du reste une chaconne de Jommelli que je trouve magnifique, sur ce disque, et que Florio reprenait dans ses concerts avec Ciofi Cimarosa, Di Majo, Piccinni.... *Latilla, La Finta cameriera - Florio *Legrenzi, La Morte del cor penitente - Sonatori de la gioiosa marca *Lotti, La Vita caduca - Curtis *Monteverdi, A voce sola con sinfonie - Rasi *Monteverdi, IntĂ©grale des duos 2 volumes - Curtis *Monteverdi, Vespro della beata Vergine - Alessandrini *Monteverdi, Orfeo - Garrido *Paisiello, Pulcinella vendicato - Florio *Paisiello, Passionne di Gesu Cristo - Fasolis Carlupin Rien que pour Roberta, il faut y faire une petite halte. Cela suppose Ă©videmment de voir Ă  travers la jaquette, peu engageante ! Les airs dĂ©volus Ă  Pietro la mettent vraiment en valeur, car gĂ©nĂ©ralement l'orchestre est discret et ne fait que ponctuer ses interventions. Ces parties trĂšs douces demandent une grande souplesse et un art du verbe auxquels le soprano s'atelle avec un bonheur Ă©vident. Son dernier air "Se a librarsi in mezzo all'onde" tranche significativement par sa vivacitĂ© et sa voltige. LĂ  encore, c'est un sans faute, on est proche de la jouissance ! Il semble parfois que les couleurs du mĂ©dium disparaissent pour ne laisser agir que son grave rageur et son aigu transperçant. L'oeuvre, bien que fort belle et inventive, n'est pas souvent convaincante. La pompe de la plupart des airs s'accorde mal Ă  l'intimitĂ© de la scĂšne relatĂ©e par MĂ©tastase. L'air que j'Ă©voque juste au-dessus est un exemple parfait. MalgrĂ© son titre, il ne dĂ©crit absolument pas le tumulte de la tempĂȘte, mais l'enfant qui apprend Ă  nager. Pourtant, tout l'attirail de l'aria di tempesta rĂ©pond prĂ©sent, depuis les volutes aux cordes jusqu'aux cors, en passant par toutes les pirouettes et les sauts d'octave Ă  la voix... Sur le mĂȘme texte, Caldara Ă©tait plus attentif, Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre excitant. A Ă©couter donc, en oubliant le livret. En plus, personne ne dĂ©mĂ©rite dans cette version, bien au contraire. *Piccini & Sachini, Arias - Florio Versailles Critique ici. *Porpora, Dorindo, dormi ancor - Velardi *Provenzale, Mottetti - Florio *Provenzale, La Colomba ferita - Florio *Provenzale, Vespro - Florio *Purcell, Beati omnes - Fasolis *Rossi, Madrigaux - Curtis *Scarlatti, La Santissima Trinita - Biondi Une trĂšs bonne façon de dĂ©couvrir la musique d'Alessandro Scarlatti la distribution est brillante et, cela n'arrive pas si souvent au disque, Invernizzi n'est pas seule Ă  briller, puisqu'elle est accompagnĂ©e de Gens et de Genaux; Biondi dirige l'oeuvre d'une façon alerte et toujours un peu sĂšche mais qui convient trĂšs bien Ă  ce dĂ©bat thĂ©ologique en musique tout de mĂȘme bien plus sĂ©duisant qu'une somme de Saint Thomas! *Stradella, Moro per amore - Velardi *Stradella, Esule dalle sfere - Velardi *Stradella, Lo Schiavo liberato - Velardi *Vinci, Le Zite 'n galera - Florio *Vinci & Leo, L'opera buffa - Florio *Vinci, Cantates et intermezzi - Florio De jolies pieces notemment une en espagnol Addios!, un programme intĂ©ressant sur les passerelles entre l'Italie napolitaine et l'Espagne, mais on reste un peu sur notre faim les intermezzi mĂȘme brillement interprĂ©tĂ©s, c'est tout de mĂȘme toujours un peu la mĂȘme chose, et Invernizzi ne chante superbement qu'une seule cantate, la seconde est confiĂ©e Ă  un contralto de second ordre comme Florio sait malheureusment si souvent en trouver. *Vivaldi, Motezuma Teutile - Curtis Vous n'avez aucune excuse pour ne toujours pas connaĂźtre ce disque! Non seulement l'oeuvre est magnifique mĂȘme DavidLeMarrec le dit!, mais c'est le plus beau disque de Curtis qui semble enfin se reveiller de sa mollesse habituelle et enfin la distribution est Ă©poustouflante dans les airs comme dans les rĂ©citatifs qu'on a rarement entendu si investis pour un opera seria. Pour ne parler que d'Invernizzi, elle campe une Teutile cristalline qui ne semble s'incarner que dans la souffrance, c'est absolument prodigieux, elle semble se dĂ©passer elle mĂȘme Ă  chaque air, cette musique lui semble si naturelle qu'elle rĂ©ussi ce petit miracle que seules de rares monstres sacrĂ©s rĂ©ussissent chanter avec le mĂȘme naturel que celui de la parole. Sans doute le meilleur disque pour la dĂ©couvrir. *Vivaldi, L'Olimpiade - Alessandrini Superbo di me stesso! Comme beaucoup c'est avec ce Megacle que je la dĂ©couvrais; ce premier opĂ©ra de l'Ă©dition NaĂŻve est une franche rĂ©ussite. Je n'ai jamais entendu ailleurs qu'avec Alessandrini une telle homogĂ©nĂ©itĂ© de l'orchestre qui semble constemment nimbĂ© dans la basse continue comme Venise dans la brume, une direction trĂšs dix-septiemiste donc d'une douceur parfois torrentielle Quel destrier, E troppo spietato, Gemo in un punto.... Outre le glorieux Megacle de notre hĂ©roĂŻne du jour dont l'italien est un pur rĂȘve, on notera la prĂ©sence de la superbe et tĂ©nĂ©breuse Mingardo en Licida que je dĂ©couvrais aussi et Ă  qui je dois d'avoir choisi ce pseudonyme et de la non moins marquante Prina encore une dĂ©couverte avec ce disque qui est dĂ©cidemment celui de bien des rĂ©vĂ©lations. En plus cet livret est un des plus rĂ©ussis et connu de Metastase, donc vous ne pouvez pas passer Ă  cotĂ©. *Vivaldi, Vespri per l'Assunzione di Maria Vergine - Alessandrini Un disque indispensable mais pas forcĂ©ment pour elle pour les oeuvres absolument, pour Alessandrini aussi, pour Mingardo surtout qui signe les plus beaux Nisi Dominus et Salve Regina de la discographie Ă  mon humble avis, pour Bertagnolli aussi qui chante un trĂšs rĂ©ussi Laudate pueri mĂȘme si ce n'est pas le meilleur que l'on connaisse. A Invernizzi ne reviennent finalement que des parties d'ensembles qui sonnent comme de luxueuses transitions entre les piĂšces les plus cĂ©lĂšbres. Ses apparitions sont nĂ©anmoins remarquables, notemment un superbe Ascende laeta. *Vivaldi, Dixit Dominus + 3 psaulmes de Galuppi - Kopp SuperGarfield Ce disque possĂšde l'intĂ©rĂȘt d'ĂȘtre un inĂ©dit Vivaldien, un troisiĂšme Dixit dĂ©couvert, trĂšs beau, trĂšs semblable Ă  celui enregistrĂ© par Alessandrini chez NaĂŻve. Cependant, Kopp ne semble pas trĂšs familier de cette musique, et c'est un peu trop mesurĂ©. L'approche un peu trop lisse pour convaincre pleinement, et le choeur n'est pas trĂšs incisif. Les solistes sont trĂšs bons, particuliĂšrement Mingardo, Invernizzi et Agnew, trĂšs suprenant d'agilitĂ© et de phrasĂ© dans le "Dominus a dextris tuis", rĂ©plique quasiment complĂšte de la 1ere section du fameux air "Alma Oppressa" de la Fida Ninfa. Les psaumes de Galuppi sont intĂ©ressants Ă©galement, de vastes dimensions et de facture assez impressionnante beaucoup d'alternances choeur-solistes au sein d'un mĂȘme morceau. A connaĂźtre pour l'intĂ©rĂȘt de l'inĂ©dit. *Vivaldi, La Silvia - Bezzina Une des premiĂšres rĂ©ssurections d'opĂ©ra de Vivaldi que l'on doit au pionnier Bezzina l'oeuvre est agrĂ©able et champĂȘtre, mais n'Ă©tait Invernizzi, on oublierait bien vite ce que l'on entend, l'orchestre assez hĂ©sitant ou les autres chanteurs assez Ă©ffacĂ©s. *Vivaldi, Cantates 2 volumes - Concerto vago Ces deux disques ne sont plus disponibles dans le commerce; je ne connais que le premier volume. Il souffre malheureusement d'un accompagnement extrĂȘmement rĂ©duit qui, Ă  force de jouer Ă  fond la carte du madrigal, rend toutes ces piĂšces rares assez interchangeables. Invernizzi a beau y mettre tout le soin qu'on lui connait, c'est trĂšs beau mais guĂšre marquant faut de caractĂ©risation d'ensemble suffisante. *Vivaldi, Gloria & Magnificat - Gubert *Ziani, Assalone punito - Curtis *Musica delle capelle di Napoli - Florio *Salon napolitain *RĂ©cital, Donne barocche - Bizzarie Armoniche Un de ses trop rares rĂ©cital, consacrĂ© ici Ă  des "compositrices" du XVIIĂšme et XVIIIĂšme siĂšcles. J'ai un peu du mal Ă  parler de la qualitĂ© des morceaux prĂ©sentĂ©s ici Ă©tant peu familier de ce rĂ©pertoire, mais voilĂ  un disque que j'Ă©coute avec beaucoup de plaisir, mĂȘme si l'ensemble qui l'accompagne me semble parfois un peu trop mĂ©riter son nom Bizzarie armoniche. *La Vendetta - Bizzarie Armoniche *O dolce vita mia - Rasi *La Notte d'amore - Curtis *Non e tempo d'aspettare - Rasi On dirait pas comme ça, mais je pense qu'il en manque, donc si vous connaissez un disque non mentionnĂ© dans cette liste, n'hĂ©sitez pas Ă  le signaler! Published by Licida - dans Artistes
Montravail consiste vraiment Ă  dĂ©construire les clichĂ©s. Par exemple, il y a un trĂšs grand fĂ©minisme dans l’islam. Il fallait Ă©videmment une photo d’une fĂ©ministe engagĂ©e, notamment
ï»żCe livre est le tĂ©moignage d’un ancien cƓur profondĂ©ment malade et souffrant qui a su parvenir Ă  l’apaisement et l’épanouissement, il vous offre de l’espoir, de la bienveillance, de la douceur et beaucoup d’amour. À travers l’encre de ma plume, j'espĂšre que tu parviendras Ă  ton tour Ă  apprendre Ă  te connaĂźtre, Ă  te comprendre, Ă  te soutenir, Ă  t'accepter et surtout, Ă  t’aimer, car au final c’est ce qui compte le plus. Terrasse ta peur et viens te dĂ©couvrir. Quand on cultive le bonheur, on fait fleurir l'Ăąme de celui qui nous Ă©coute et aussi la nĂŽtre. » Nathy-labell Lebateau filait Ă  bonne allure, l'Ă©trave fendait la mer apaisĂ©e presque morte. Sur le pont du mastodonte, les reflets de la lune scintillaient Ă  la surface du flot bleu outremer, les falaises de craie blanche Ă©taient invisibles, mais une multitude de points multicolores brillaient au fond de l'havre. Le zĂ©phir tournait, m'engourdissait, je ne pensais Ă  rien. Le coeur battait le rĂȘve 23/07/1993 - 23/09/1993 Je vous avais pourtant prĂ©venus que ce serait en pressant le kyste cancĂ©reux de ma haine que j’ar-riverais Ă  faire parvenir jusqu’à vos oreilles ingrates, l’eau claire et parsemĂ©e de reflets d’argent des mots les plus beaux que vous ayez eu l’occasion, sinon la chance suprĂȘme, dĂ©licieuse et sĂ©raphique, d’entendre. Que ceux qui me trouvent ignoble et odieux creusent leur tombe et s’y allongent, les yeux tournĂ©s vers le Ciel ; car c’est depuis le firmament mĂ©lancolique des nuages que je leur ferai goĂ»ter au fer rouge et brĂ»lant de ma vengeance. L’ode musicale que vous allez dĂšs Ă  prĂ©sent Ă©couter, n’est pas un requiem, ne vous y trompez pas ! bien que mon chant ait la majestĂ©, la puissance et le charme d’une oraison funĂ©raire. Car lĂ  oĂč s’endort le chant-amour de la mort, las d’avoir trop criĂ© ses vers, pour finalement retomber sous la pierre froide bercer le dĂ©funt destinataire de sa musique, lĂ  s’éveille et croĂźt ma chanson jusqu’à assourdir l’ouĂŻe des archanges du Mal. Et mon chant vous hypnotisera. Car bien que vous le haĂŻssiez sans limites, vous poursuivrez votre Ă©coute jusqu’à ce que vous parveniez Ă  l’interprĂ©ter vous-mĂȘmes. Pourquoi ? Parce que par ce chant, si grande et inassouvissable que soit votre haine, son immensitĂ© n’atteindra jamais le seuil, ni mĂȘme les esquisses, des musicales notes qui en furent l’origine. Sachez que jamais vous n’arriverez Ă  surpasser de votre propre dĂ©goĂ»t, l’aversion Ă©cƓurant que j’ai Ă  votre Ă©gard. Il est encore temps pour vous d’obstruer le portail de votre ouĂŻe. Tournez cette page et il sera dĂ©jĂ  trop tard. Vous serez pris dans le tourbillon infernal rĂ©flĂ©chissez bien au ses de ce qualificatif de mon chant haineux et vert du fardeau Ă©normĂ©ment alourdissant du rejet total et sans rĂ©mission de votre race entiĂšre. Car vous qui me lisez et goĂ»tez au parfum de mes mots sulfureux, sachez, vous qui vous croyez seul et protĂ©gĂ© derriĂšre votre barricade de papier, que vous ne reprĂ©sentez qu’une infime partie de ma rĂ©volte de dĂ©goĂ»t. Sachez qu’en poursuivant votre lecture, vous ne faites qu’amplifier l’écho intolĂ©rable du dessein que je viens de vous exposer. * Regardez, osez ne pas dĂ©tourner votre regard falsifiĂ© de cette plaie. La reconnaisez-vous ? Non bien sĂ»r. Pourtant elle est vĂŽtre. Vous en ĂȘtes Ă  la fois le criminel auteur et la pitoyable victime. Levez vos yeux assassins et soyez heureux que ma fureur vengeresse vous permette encore de conserver ce prĂ©cieux sens qu’est la vue. Pourtant rien ne m’oblige Ă  ne pas enfoncer dans vos orbites affamĂ©s le dard du scorpion que ma plaie saignante a enfantĂ©. Rien, si ce n’est l’insatisfaction de ne crever que deux de vos yeux alors que votre peau lĂ©preuse en compte des millions. Mais voilĂ  dĂ©jĂ  que ma haine pleure de venimeuses mygales supportant sur leurs Ă©paules arach-nides les puissants bazookas qui devront mettre fin tĂŽt ou tard Ă  votre si peu prĂ©cieuse vie. Il me faut retenir ces larmes fatales si je veux rester fidĂšle, comme une guĂȘpe peut l’ĂȘtre envers les Ă©tamines nutritive de la rose, Ă  ma volontĂ© de prolonger, jusqu’aux confins de l’insupportable, votre agonie, dont votre mort, soyez-en sĂ»rs, ne pourra ĂȘtre que salvatrice. Alors contemplez plutĂŽt une fois encore cette plaie qui chaque matin s’entrouvre un peu plus, laissant le soleil la brĂ»ler davantage. Contrairement Ă  l’ordre naturel, que vous croyiez Tout Puissant, ou que vous vous plaisiez Ă  y croire, lorsque vient le crĂ©puscule, cher aux loups assoiffĂ©s par une journĂ©e entiĂšre de jeĂ»ne, cette plaie ne se referme pas. Non, elle laisse Ă  son tour la lune la pĂ©nĂ©trer, s’offrant ainsi aux deux astres qui ont assurĂ©ment interdit sa guĂ©rison. Vous savez parfaitement que la Plaie ne s’ouvre avec bĂ©atitude, non pas pour sourire elle ignore jusqu’au sens originel de ce verbe, mais pour hurler sa douleur. Qu’ainsi, mĂȘme si vous ignorez sa prĂ©sence en tournant votre dĂ©daigneux regard, vous ne puissiez Ă©chapper Ă  la clameur dĂ©chirante de son existence. Vous avez creusĂ© la Plaie en y enfonçant vos ongles aiguisĂ©s ; la Plaie vous rĂ©pond en perçant le silence de votre culpabilitĂ© d’un cri plus tranchant que la lame affĂ»tĂ©e de la tempĂȘte. Souffrez de sa souffrance et courbez de honte votre coupable visage. * Mais je m’aperçois que je n’ai dĂ©jĂ  que trop chantĂ© la faille qui dĂ©chire la chair de mon corps dĂ©sertique. Vous risqueriez de croire que je ne suis pas le mot est juste infaillible ! DĂ©trompez-vous, prĂ©somptueux agneaux incrĂ©dules je le suis. Et au contraire, rien ne peut plus dĂ©sormais fendre les muscles de mon cƓur inassiĂ©geable. Car j’ai su, tout au long de ces annĂ©es de dociles et silencieuses souffrances, greffer au plus profond de moi-mĂȘme une carapace faite de l’acier le plus rĂ©sistant qu’il soit. Et c’est bien vous, et personne d’autre, pitoyables guerriers titubant sur le chemin du combat, oui c’est vous qui ĂȘtes l’origine et la cause de ce bouclier dont j’ai prĂ©maturĂ©ment accouchĂ©. BombardĂ© comme je le fus par vos lances, visant toujours plus prĂ©cisĂ©ment l’endroit oĂč je tentais de conserver un semblant de survie face Ă  vos attaques, il est certain que je ne vous ai jamais adressĂ© nul reproche, ni mĂȘme l’ombre du fantĂŽme d’une lĂąche plainte. Si votre intelligence avait pu Ă©galer l’intensitĂ© de votre cruautĂ©, il aurait Ă©tĂ© facile de vous douter que mon silence patient cachait un danger plus fĂ©roce encore que si le CrĂ©ateur lui-mĂȘme avait dĂ©cidĂ© de vous chĂątier en dĂ©clenchant les sept prĂ©dictions de l’apocalypse. Car, vous le comprenez maintenant, mais il est dĂ©jĂ  trop tard, l’heure de ma vengeance dĂ©vastatrice est venue. Il ne vous servira Ă  rien de fuir, car mĂȘme si vous rĂ©ussissiez Ă  atteindre, ce qui est Ă  dix mille pieds au-dessus de vos pauvres capacitĂ©s, la rapiditĂ© sans Ă©gale de la vipĂšre menacĂ©e, le glaive de ma vengeance parviendrait malgrĂ© tout Ă  vous toucher. Et s’il est une infĂ©rioritĂ© que j’admets concĂ©der au Tout Puissant, ce ne peut ĂȘtre que mon impos-sibilitĂ© Ă  vous prendre en pitiĂ©. Je connais votre infĂ©rioritĂ©, plus indiscutable encore, face Ă  la force de mon couperet rectificateur. Que cela ne vous empĂȘche pas de poursuivre mon chant accusateur qui continuera Ă  vous assaillir, laissant sur votre peau tuberculeuse, la marque indĂ©lĂ©bile de mon cĂ©leste courroux. * Quelle Ă©tait belle cette adolescente Ă  la peau dĂ©coupĂ©e dans les tissus les plus raffinĂ©s et aux yeux encore Ă©tonnĂ©s d’avoir vu tant de beautĂ© dans le miroir. On aurait dit un petit animal sauvage effarouchĂ© et certain de ne pas ĂȘtre Ă  sa place dans ce zoo qui ne lui offrait comme horizon que l’ñpre robustesse des barreaux de sa cage. Elle devait s’évader de sa prison. Il ne pouvait pas en ĂȘtre autrement. Quand bien mĂȘme le Ciel n’était pas encore assez grand pour accueillir sa beautĂ© et l’Univers trop Ă©troit pour contenir les vapeurs Ă©manant de la puretĂ© de son visage et de son cƓur. Et moi j’ai Ă©tĂ© assez stupide pour lui ouvrir les portes de sa geĂŽle, en dĂ©robant au pĂ©ril de ma vie les clĂ©s tant dĂ©sirĂ©es qui devaient lui apprendre que l’alphabet se rĂ©sumait aux sept lettres du mot libertĂ©. Je ne me rendais pas compte de ma stupiditĂ©. Comment l’aurais-je fait ? Puisque je jouissais alors du plus parfait bonheur la fille la plus parfaite de cette Terre, planĂšte la plus parfaite du SystĂšme Solaire, daignait croiser ses doigts si doux avec mon humble main. Peut-ĂȘtre croyez-vous que je devrais vous remercier pour ce cadeau de votre Providence sacrĂ©e ? Ne prononcez plus jamais devant ma colĂšre ce verbe qui m’est maintenant Ă©tranger. Je ne peux plus remercier personne. Car aprĂšs m’ĂȘtre docilement habituĂ© Ă  votre laideur quotidienne, jusqu’au point d’ignorer que quelque chose d’autre, de diffĂ©rent, de meilleur mais je ne savais pas alors ce que "meilleur" signi-fiait pouvait exister ; aprĂšs ceci vous avez brandi devant mes yeux, aussi Ă©merveillĂ©s que ceux d’un nouveau nĂ©, cette crĂ©ature merveilleuse parmi les merveilles, angĂ©lique parmi les anges. Quel Ă©tait votre but ? Et surtout en quoi toute cette illusion pouvait vous servir si c’était pour la faire Ă©vanouir ensuite ? On ne tend pas un sucre Ă  un chien affamĂ© pour l’avaler soi-mĂȘme lorsqu’il s’apprĂȘte Ă  prendre ce cadeau. Ou alors on ne s’étonne pas que l’animal devienne enragĂ© et cherche Ă  vous saigner de sa morsure fatale. * Je sais que vous persistez Ă  vous emmitoufler dans votre manteau de suspicion pour vous protĂ©ger de l’attaque des intempĂ©ries, des flocons de neige, des rayons de soleil, des gouttes de pluie, des murmures du vent, de la fourche des Ă©clairs, des ululements des lunes et du mĂ©contentement de votre Dieu mĂ©galomane. Je sais que la mĂ©fiance est votre nation, que le doute est votre drapeau et que jamais vous ne chanterez l’hymne apaisant de la confiance. Je sais que tant que vos yeux, lorsque vous ĂȘtes sobre cela va sans dire, n’auront pas constatĂ© la dualitĂ© lunaire, vous resterez persuadĂ©s de contempler chaque soir la mĂȘme lune, identique, fidĂšle et immuable. Je sais qu’en ce moment mĂȘme, et malgrĂ© les menaces et les mises en garde que je n’arrĂȘte pas de semer dans votre champ oculaire et auditif, je sais que vous riez de ces graines que j’ai pourtant pris la peine de planter, et ceci uniquement pour que puisse fleurir votre comprĂ©hensible infantile. Mais il vous en faudrait plus vous voudriez que je vienne chaque heure arroser mes semences. Vous souhaiteriez me rabaisser Ă  l’état de jardinier pour que constamment j’entretienne vos cultures qui indubitablement, Ă  la lumiĂšre de votre sombre suspicion abjecte, ne donneront jamais aucun fruit. Écoutez donc maintenant ! Si jardinier je suis, ce ne peut ĂȘtre qu’au mĂȘme titre que Celui qui a fait fleurir l’Éden, le CrĂ©ateur de ce jardin paradisiaque qu’il vous presse d’atteindre au seuil de votre mort. C’est Lui qu’il faudrait invoquer, pour que le printemps souffle de nouveau sur vos vergers. Et quand bien mĂȘme Il viendrait vous porter secours mais rĂ©flĂ©chissez bien l’a-t-il dĂ©jĂ  fait une seule fois ?, je me tiendrais lĂ , au milieu de Son chemin, Le dĂ©fiant de continuer Sa route. Et croyez bien que jamais je n’ai perdu mon combat contre cet Hypocrite PaĂŻen BlasphĂ©mateur. Aussi prenez garde Ă  ma prochaine strophe. La preuve que je vous y donne pour justifier la toute puissance que vous me contestez, cette preuve aura le volume sonore d’un train qui foncerait avec cahots sur des rails oĂč vos oreilles seraient enchaĂźnĂ©es. * Le bonheur, sous quelque forme qu’il, a Ă©tĂ© depuis longtemps banni des portes de mon cƓur, dĂ©jĂ  bien trop lourd de haine et de dĂ©sir vengeur de puissance pour accepter le moindre sourire ou la moindre joie, ou encore la seule idĂ©e que ma langue natale, ma langue fourchue crachant le feu, ait encore de tels mots Ă  son vocabulaire Aussi, mon Ă©tonnement s’est immĂ©diatement dĂ©clenchĂ© lorsque je vis ce jeune homme, Ă  la che-velure Ă©clatante, au visage fin et sĂ»r de lui et surtout avec cet insupportable Ă©tirement des lĂšvres qui montrait en toute impudeur la blancheur virginale de ses dents avec ce sourire Ă©tincelant prouvant Ă  qui voulait le regarder que sans hĂ©sitation, sans mĂȘme l’ombre obscure du spectre invisible du doute, qu’on ne pouvait dans cet instant le qualifier d’autre attribut que celui d’ĂȘtre immensĂ©ment heureux. Il eĂ»t Ă©tĂ© beau dans d’autres occasions, mais ici sa beautĂ© Ă©tait Ă©clipsĂ©e par son bonheur, comme le sinistre aspect glacial des macchabĂ©es masque leur potentielle laideur. À mes interrogations non dĂ©nuĂ©es de sarcasme, il rĂ©pondit sans mĂȘme oser se soulager en laissant son manteau de bonheur au vestiaire "Je ne suis qu’à l’aube de ma vie et dĂ©jĂ  l’Être SuprĂȘme ne prĂ©sente Ă  mes yeux que le spectacle splendide d’un soleil levant. Les oiseaux s’éveillent au mĂ©lodieux son de mes pas pour entamer avec fiertĂ© les plus merveilleuses de leurs chansons de joie. Les fleurs vont mĂȘme jusqu’à s’ouvrir Ă  mon passage et se referment dĂšs que je les quitte pour qu’aucun autre que moi ne les voie nues dans leur beautĂ©. Je n’ai pas encore l’ñge qui me donnent cette allure tourmentĂ©e que visiblement tu ne connais que trop. Et pourtant, je suis Ă  la fois aimĂ© et redoutĂ© de tous, du fragile enfant qui vient d’émerger de sa piscine vaginale au courageux guerrier qui a terrassĂ© tant de dragons. Car je te le dis sans craintes je suis PoĂšte. Et mes mots anesthĂ©sient de leur puissante et belle musique toutes les armes qui pourraient se lever contre moi. J’entonne des vers de triomphe devant Dieu et calme d’une douce berceuse l’Esprit Malin. Car je suis PoĂšte. . ." * . . .Il ne m’a pas paru nĂ©cessaire de vous rapporter plus encore les paroles de cet adolescent prĂ©-tentieux, il ne faisait de toute façon qu’enrober de paroles de satin sa derniĂšre affirmation il Ă©tait PoĂšte et le reste n’était que poussiĂšre d’étoile ! Pourtant sa prĂ©tendue puissance ne m’effrayait point. Au contraire j’aurais ri du triste sort que j’allais infliger Ă  cet outrageux paon si je ne m’étais pas tranchĂ© depuis des siĂšcles dĂ©jĂ  mes sanguines lĂšvres d’une lame de rasoir afin de ne plus jamais tenter mĂȘme d’esquisser un sourire. Et ma rĂ©ponse fatale transformera son pouvoir de gĂ©ant en impuissance d’eunuque "Ô toi qui sembles avoir fait l’amour avec la sĂ©raphique lyre d’Érato ! Ô toi en qui semblent couler tous les majestueux alexandrins qui serpentent entre les rĂ©cifs des six ocĂ©ans depuis l’aurore bĂ©nie oĂč le CrĂ©ateur signa de Sa plume d’or notre planĂšte oĂč tu sembles rĂ©gner en prince ! Ô pauvre et stupide oiselet, je tremble en effet devant les arpĂšges que tu viens de me rĂ©citer ! Je frissonne Ă  la seule pensĂ©e de ton avenir qui s’est d’ores et dĂ©jĂ  retournĂ© pour se glisser derriĂšre ton dos ! Quel misĂ©rable et infortunĂ© embryon es-tu, toi qui n’as pas eu le bonheur inestimable, ni la chance infinie de me rencontrer plus t, avant que les larves de tes propres paroles puissent s’écouler comme elles viennent de le faire ! Quelle erreur as-tu faite de ne pas avoir su dompter les seize vents qui auraient pu pousser ton destin jusqu’à mon jugement avant que celui-ci ne fĂ»t le dernier ! Car tu n’es pont poĂšte, non ! Depuis que tu as eu l’affront de t’affirmer ainsi, la laideur de cette assertion t’a Ă  jamais privĂ© de sa concrĂ©tisation. Quoi de moins poĂ©tique que celui qui se vante de l’ĂȘtre ? Et toi, tu n’as jamais fait qu’essayer de tenter d’esquisser les Ă©bauches du seul vers sorti de ta bouche putride, le seul qui aurait pu oser prĂ©tendre s’avancer Ă  tĂątons vers l’ombre du reflet d’une modeste poĂ©sie." À ces mots encore rĂ©sonnant de vĂ©ritĂ©, celui qui s’imaginait abriter en son corps l’infinie combi-naison de lettres qu’il sera jamais possible de chanter, Ă  ces mots dont il avait toujours ignorĂ© le sens, le jeune homme se donna la mort puisque c’était lĂ  le seul cadeau qu’il puisse accepter recevoir de sa propre personne qui n’était dĂ©jĂ  plus qu’une moisissure de charogne. * Peut-ĂȘtre ne tremblez-vous pas encore aprĂšs avoir Ă©tĂ© contraints d’écouter l’introduction de mon chant. ĂȘtre mĂȘme que vous doutez d’avoir l’ouĂŻe rassasiĂ©e de si peu de voluptĂ© musicales. Peut-ĂȘtre encore que vous n’avez mĂȘme pas entendu la plainte du blond puceau de ma derniĂšre strophe qui vient juste de s’émasculer avant de faire jaillir d’un seul coup son sang, mais d’un coup si sec et tranchant que son aorte ainsi sectionnĂ©e faisait jaillir ses globules vermeils de telle sorte qu’en ouvrant sa bouche pour clamer sa douleur, il but tout le sang qu’il versait. Et ce sang, tant de fois Ă©jectĂ© puis rĂ©gurgitĂ© arrivait encore Ă  prolonger durant des secondes aussi cruelles qu’interminables l’agonie de l’ange dĂ©chu, perdu sans son aurĂ©ole. Pourtant je n’en suis qu’à la GenĂšse de mon chant mortuaire. Tout reste encore Ă  venir, ou plutĂŽt Ă  disparaĂźtre. Mais vous ne pouvez plus maintenant Ă©chapper aux gammes assourdissantes qui vont dĂšs lors se dĂ©verser comme un torrent que mĂȘme les plus solides rochers n’arrivent Ă  stopper dans un Ă©cumage infernal rĂ©flĂ©chissez bien au sens de ce mot. Maldoror Ă©tait un monstre de bontĂ© comparĂ© Ă  l’ombre hideuse qui obscurcit mes desseins apoca-lyptiques. Et la damnation de Faust n’est tout au pire qu’une bĂ©nĂ©diction face Ă  l’impitoyable destin dans lequel mes strophes sataniques . . . ! vous poussent.. de plus en plus. . .comme un corsaire me-naçant de son sabre le condamnĂ© sur sa planche qui ne peut plus prĂ©tendre Ă  rien sauf Ă  devenir un agglomĂ©ra charnel de sacrifice pour de fĂ©roces requins. Certes je suis arrivĂ© Ă  mesurer la solitude incommensurable des Ăąmes de la PoĂ©sie. Mais dĂ©sormais je ne suis plus seul dans mon combat contre votre espĂšce entiĂšre dĂ©jĂ  mon ombre ne me trahit plus, elle est le tĂ©moin de tous mes actes sanctifiaires. Et lorsque la mĂ©moire me manque pour vous narrer ma chanson, c’est elle, ma fidĂšle et richissime compagne noire, qui m’en rappelle les couplets. Mais je l’ai dĂ©jĂ  dit, vous n’avez assistĂ© jusqu’à maintenant qu’à la GenĂšse enscoliosĂ©e de mon impitoyable gĂ©nocide sans rĂ©mission. N’en doutez point. Écoutez pour vous rassurer, cette plainte que le hĂ©ros de ma prĂ©cĂ©dente strophe n’a eu que trop le temps de clamer. ET son Ă©cho rĂ©sonne encore dans le labyrinthe miroitant de mon chant-amour. * Que voulez-vous que je fasse avec cette crĂ©ature que l’on dit si merveilleuse, si empreinte de sublime magnificence ; on affirme que le CrĂ©ateur l’a Lui-mĂȘme enfantĂ©e pour montrer Ă  l’espĂšce humaine Sa divine beautĂ© ; que voulez-vous que je fasse de celui de qui l’on prĂ©tend la possession des suprĂȘmes pouvoirs, censĂ©s ne perdre aucun combat dans aucune guerre, mĂȘme celle qui vit la colombe mourir en son sein ; que voulez-vous que je fasse avec cet ĂȘtre inspirĂ© de l’image des anges et que l’on nomme Amour ? Il doit ĂȘtre banni ! Exclu de vos conversations et de vos pensĂ©es ! De quelque sorte qu’il soit, l’Amour ne peut plus exister dans un monde oĂč j’ai dĂ©cidĂ© de chanter ma haine de l’entiĂšre race humaine et oĂč mes refrains rĂ©sonnent jusque dans le cƓur des volcans et l’ñme des ocĂ©ans. Chasse
OĂčfleurissent les proses. Les lĂšvres nous les taisent, Elles brillent dans les yeux BrĂ»lant comme des braises Au feu du dĂ©licieux. L'amour en interdit, A jamais ne se dit, Mais notre coeur espĂšre Le vivre sans barriĂšres. L'esprit Ă©pris s'y perd Surpris dans sa priĂšre, Son espoir de le vivre. Enfin il se libĂšre Et l'Ăąme rĂ©verbĂšre
23/07/1993 - 23/09/1993 Je vous avais pourtant prĂ©venus que ce serait en pressant le kyste cancĂ©reux de ma haine que j’ar-riverais Ă  faire parvenir jusqu’à vos oreilles ingrates, l’eau claire et parsemĂ©e de reflets d’argent des mots les plus beaux que vous ayez eu l’occasion, sinon la chance suprĂȘme, dĂ©licieuse et sĂ©raphique, d’entendre. Que ceux qui me trouvent ignoble et odieux creusent leur tombe et s’y allongent, les yeux tournĂ©s vers le Ciel ; car c’est depuis le firmament mĂ©lancolique des nuages que je leur ferai goĂ»ter au fer rouge et brĂ»lant de ma vengeance. L’ode musicale que vous allez dĂšs Ă  prĂ©sent Ă©couter, n’est pas un requiem, ne vous y trompez pas ! bien que mon chant ait la majestĂ©, la puissance et le charme d’une oraison funĂ©raire. Car lĂ  oĂč s’endort le chant-amour de la mort, las d’avoir trop criĂ© ses vers, pour finalement retomber sous la pierre froide bercer le dĂ©funt destinataire de sa musique, lĂ  s’éveille et croĂźt ma chanson jusqu’à assourdir l’ouĂŻe des archanges du Mal. Et mon chant vous hypnotisera. Car bien que vous le haĂŻssiez sans limites, vous poursuivrez votre Ă©coute jusqu’à ce que vous parveniez Ă  l’interprĂ©ter vous-mĂȘmes. Pourquoi ? Parce que par ce chant, si grande et inassouvissable que soit votre haine, son immensitĂ© n’atteindra jamais le seuil, ni mĂȘme les esquisses, des musicales notes qui en furent l’origine. Sachez que jamais vous n’arriverez Ă  surpasser de votre propre dĂ©goĂ»t, l’aversion Ă©cƓurant que j’ai Ă  votre Ă©gard. Il est encore temps pour vous d’obstruer le portail de votre ouĂŻe. Tournez cette page et il sera dĂ©jĂ  trop tard. Vous serez pris dans le tourbillon infernal rĂ©flĂ©chissez bien au ses de ce qualificatif de mon chant haineux et vert du fardeau Ă©normĂ©ment alourdissant du rejet total et sans rĂ©mission de votre race entiĂšre. Car vous qui me lisez et goĂ»tez au parfum de mes mots sulfureux, sachez, vous qui vous croyez seul et protĂ©gĂ© derriĂšre votre barricade de papier, que vous ne reprĂ©sentez qu’une infime partie de ma rĂ©volte de dĂ©goĂ»t. Sachez qu’en poursuivant votre lecture, vous ne faites qu’amplifier l’écho intolĂ©rable du dessein que je viens de vous exposer. * Regardez, osez ne pas dĂ©tourner votre regard falsifiĂ© de cette plaie. La reconnaisez-vous ? Non bien sĂ»r. Pourtant elle est vĂŽtre. Vous en ĂȘtes Ă  la fois le criminel auteur et la pitoyable victime. Levez vos yeux assassins et soyez heureux que ma fureur vengeresse vous permette encore de conserver ce prĂ©cieux sens qu’est la vue. Pourtant rien ne m’oblige Ă  ne pas enfoncer dans vos orbites affamĂ©s le dard du scorpion que ma plaie saignante a enfantĂ©. Rien, si ce n’est l’insatisfaction de ne crever que deux de vos yeux alors que votre peau lĂ©preuse en compte des millions. Mais voilĂ  dĂ©jĂ  que ma haine pleure de venimeuses mygales supportant sur leurs Ă©paules arach-nides les puissants bazookas qui devront mettre fin tĂŽt ou tard Ă  votre si peu prĂ©cieuse vie. Il me faut retenir ces larmes fatales si je veux rester fidĂšle, comme une guĂȘpe peut l’ĂȘtre envers les Ă©tamines nutritive de la rose, Ă  ma volontĂ© de prolonger, jusqu’aux confins de l’insupportable, votre agonie, dont votre mort, soyez-en sĂ»rs, ne pourra ĂȘtre que salvatrice. Alors contemplez plutĂŽt une fois encore cette plaie qui chaque matin s’entrouvre un peu plus, laissant le soleil la brĂ»ler davantage. Contrairement Ă  l’ordre naturel, que vous croyiez Tout Puissant, ou que vous vous plaisiez Ă  y croire, lorsque vient le crĂ©puscule, cher aux loups assoiffĂ©s par une journĂ©e entiĂšre de jeĂ»ne, cette plaie ne se referme pas. Non, elle laisse Ă  son tour la lune la pĂ©nĂ©trer, s’offrant ainsi aux deux astres qui ont assurĂ©ment interdit sa guĂ©rison. Vous savez parfaitement que la Plaie ne s’ouvre avec bĂ©atitude, non pas pour sourire elle ignore jusqu’au sens originel de ce verbe, mais pour hurler sa douleur. Qu’ainsi, mĂȘme si vous ignorez sa prĂ©sence en tournant votre dĂ©daigneux regard, vous ne puissiez Ă©chapper Ă  la clameur dĂ©chirante de son existence. Vous avez creusĂ© la Plaie en y enfonçant vos ongles aiguisĂ©s ; la Plaie vous rĂ©pond en perçant le silence de votre culpabilitĂ© d’un cri plus tranchant que la lame affĂ»tĂ©e de la tempĂȘte. Souffrez de sa souffrance et courbez de honte votre coupable visage. * Mais je m’aperçois que je n’ai dĂ©jĂ  que trop chantĂ© la faille qui dĂ©chire la chair de mon corps dĂ©sertique. Vous risqueriez de croire que je ne suis pas le mot est juste infaillible ! DĂ©trompez-vous, prĂ©somptueux agneaux incrĂ©dules je le suis. Et au contraire, rien ne peut plus dĂ©sormais fendre les muscles de mon cƓur inassiĂ©geable. Car j’ai su, tout au long de ces annĂ©es de dociles et silencieuses souffrances, greffer au plus profond de moi-mĂȘme une carapace faite de l’acier le plus rĂ©sistant qu’il soit. Et c’est bien vous, et personne d’autre, pitoyables guerriers titubant sur le chemin du combat, oui c’est vous qui ĂȘtes l’origine et la cause de ce bouclier dont j’ai prĂ©maturĂ©ment accouchĂ©. BombardĂ© comme je le fus par vos lances, visant toujours plus prĂ©cisĂ©ment l’endroit oĂč je tentais de conserver un semblant de survie face Ă  vos attaques, il est certain que je ne vous ai jamais adressĂ© nul reproche, ni mĂȘme l’ombre du fantĂŽme d’une lĂąche plainte. Si votre intelligence avait pu Ă©galer l’intensitĂ© de votre cruautĂ©, il aurait Ă©tĂ© facile de vous douter que mon silence patient cachait un danger plus fĂ©roce encore que si le CrĂ©ateur lui-mĂȘme avait dĂ©cidĂ© de vous chĂątier en dĂ©clenchant les sept prĂ©dictions de l’apocalypse. Car, vous le comprenez maintenant, mais il est dĂ©jĂ  trop tard, l’heure de ma vengeance dĂ©vastatrice est venue. Il ne vous servira Ă  rien de fuir, car mĂȘme si vous rĂ©ussissiez Ă  atteindre, ce qui est Ă  dix mille pieds au-dessus de vos pauvres capacitĂ©s, la rapiditĂ© sans Ă©gale de la vipĂšre menacĂ©e, le glaive de ma vengeance parviendrait malgrĂ© tout Ă  vous toucher. Et s’il est une infĂ©rioritĂ© que j’admets concĂ©der au Tout Puissant, ce ne peut ĂȘtre que mon impos-sibilitĂ© Ă  vous prendre en pitiĂ©. Je connais votre infĂ©rioritĂ©, plus indiscutable encore, face Ă  la force de mon couperet rectificateur. Que cela ne vous empĂȘche pas de poursuivre mon chant accusateur qui continuera Ă  vous assaillir, laissant sur votre peau tuberculeuse, la marque indĂ©lĂ©bile de mon cĂ©leste courroux. * Quelle Ă©tait belle cette adolescente Ă  la peau dĂ©coupĂ©e dans les tissus les plus raffinĂ©s et aux yeux encore Ă©tonnĂ©s d’avoir vu tant de beautĂ© dans le miroir. On aurait dit un petit animal sauvage effarouchĂ© et certain de ne pas ĂȘtre Ă  sa place dans ce zoo qui ne lui offrait comme horizon que l’ñpre robustesse des barreaux de sa cage. Elle devait s’évader de sa prison. Il ne pouvait pas en ĂȘtre autrement. Quand bien mĂȘme le Ciel n’était pas encore assez grand pour accueillir sa beautĂ© et l’Univers trop Ă©troit pour contenir les vapeurs Ă©manant de la puretĂ© de son visage et de son cƓur. Et moi j’ai Ă©tĂ© assez stupide pour lui ouvrir les portes de sa geĂŽle, en dĂ©robant au pĂ©ril de ma vie les clĂ©s tant dĂ©sirĂ©es qui devaient lui apprendre que l’alphabet se rĂ©sumait aux sept lettres du mot libertĂ©. Je ne me rendais pas compte de ma stupiditĂ©. Comment l’aurais-je fait ? Puisque je jouissais alors du plus parfait bonheur la fille la plus parfaite de cette Terre, planĂšte la plus parfaite du SystĂšme Solaire, daignait croiser ses doigts si doux avec mon humble main. Peut-ĂȘtre croyez-vous que je devrais vous remercier pour ce cadeau de votre Providence sacrĂ©e ? Ne prononcez plus jamais devant ma colĂšre ce verbe qui m’est maintenant Ă©tranger. Je ne peux plus remercier personne. Car aprĂšs m’ĂȘtre docilement habituĂ© Ă  votre laideur quotidienne, jusqu’au point d’ignorer que quelque chose d’autre, de diffĂ©rent, de meilleur mais je ne savais pas alors ce que "meilleur" signi-fiait pouvait exister ; aprĂšs ceci vous avez brandi devant mes yeux, aussi Ă©merveillĂ©s que ceux d’un nouveau nĂ©, cette crĂ©ature merveilleuse parmi les merveilles, angĂ©lique parmi les anges. Quel Ă©tait votre but ? Et surtout en quoi toute cette illusion pouvait vous servir si c’était pour la faire Ă©vanouir ensuite ? On ne tend pas un sucre Ă  un chien affamĂ© pour l’avaler soi-mĂȘme lorsqu’il s’apprĂȘte Ă  prendre ce cadeau. Ou alors on ne s’étonne pas que l’animal devienne enragĂ© et cherche Ă  vous saigner de sa morsure fatale. * Je sais que vous persistez Ă  vous emmitoufler dans votre manteau de suspicion pour vous protĂ©ger de l’attaque des intempĂ©ries, des flocons de neige, des rayons de soleil, des gouttes de pluie, des murmures du vent, de la fourche des Ă©clairs, des ululements des lunes et du mĂ©contentement de votre Dieu mĂ©galomane. Je sais que la mĂ©fiance est votre nation, que le doute est votre drapeau et que jamais vous ne chanterez l’hymne apaisant de la confiance. Je sais que tant que vos yeux, lorsque vous ĂȘtes sobre cela va sans dire, n’auront pas constatĂ© la dualitĂ© lunaire, vous resterez persuadĂ©s de contempler chaque soir la mĂȘme lune, identique, fidĂšle et immuable. Je sais qu’en ce moment mĂȘme, et malgrĂ© les menaces et les mises en garde que je n’arrĂȘte pas de semer dans votre champ oculaire et auditif, je sais que vous riez de ces graines que j’ai pourtant pris la peine de planter, et ceci uniquement pour que puisse fleurir votre comprĂ©hensible infantile. Mais il vous en faudrait plus vous voudriez que je vienne chaque heure arroser mes semences. Vous souhaiteriez me rabaisser Ă  l’état de jardinier pour que constamment j’entretienne vos cultures qui indubitablement, Ă  la lumiĂšre de votre sombre suspicion abjecte, ne donneront jamais aucun fruit. Écoutez donc maintenant ! Si jardinier je suis, ce ne peut ĂȘtre qu’au mĂȘme titre que Celui qui a fait fleurir l’Éden, le CrĂ©ateur de ce jardin paradisiaque qu’il vous presse d’atteindre au seuil de votre mort. C’est Lui qu’il faudrait invoquer, pour que le printemps souffle de nouveau sur vos vergers. Et quand bien mĂȘme Il viendrait vous porter secours mais rĂ©flĂ©chissez bien l’a-t-il dĂ©jĂ  fait une seule fois ?, je me tiendrais lĂ , au milieu de Son chemin, Le dĂ©fiant de continuer Sa route. Et croyez bien que jamais je n’ai perdu mon combat contre cet Hypocrite PaĂŻen BlasphĂ©mateur. Aussi prenez garde Ă  ma prochaine strophe. La preuve que je vous y donne pour justifier la toute puissance que vous me contestez, cette preuve aura le volume sonore d’un train qui foncerait avec cahots sur des rails oĂč vos oreilles seraient enchaĂźnĂ©es. * Le bonheur, sous quelque forme qu’il, a Ă©tĂ© depuis longtemps banni des portes de mon cƓur, dĂ©jĂ  bien trop lourd de haine et de dĂ©sir vengeur de puissance pour accepter le moindre sourire ou la moindre joie, ou encore la seule idĂ©e que ma langue natale, ma langue fourchue crachant le feu, ait encore de tels mots Ă  son vocabulaire Aussi, mon Ă©tonnement s’est immĂ©diatement dĂ©clenchĂ© lorsque je vis ce jeune homme, Ă  la che-velure Ă©clatante, au visage fin et sĂ»r de lui et surtout avec cet insupportable Ă©tirement des lĂšvres qui montrait en toute impudeur la blancheur virginale de ses dents avec ce sourire Ă©tincelant prouvant Ă  qui voulait le regarder que sans hĂ©sitation, sans mĂȘme l’ombre obscure du spectre invisible du doute, qu’on ne pouvait dans cet instant le qualifier d’autre attribut que celui d’ĂȘtre immensĂ©ment heureux. Il eĂ»t Ă©tĂ© beau dans d’autres occasions, mais ici sa beautĂ© Ă©tait Ă©clipsĂ©e par son bonheur, comme le sinistre aspect glacial des macchabĂ©es masque leur potentielle laideur. À mes interrogations non dĂ©nuĂ©es de sarcasme, il rĂ©pondit sans mĂȘme oser se soulager en laissant son manteau de bonheur au vestiaire "Je ne suis qu’à l’aube de ma vie et dĂ©jĂ  l’Être SuprĂȘme ne prĂ©sente Ă  mes yeux que le spectacle splendide d’un soleil levant. Les oiseaux s’éveillent au mĂ©lodieux son de mes pas pour entamer avec fiertĂ© les plus merveilleuses de leurs chansons de joie. Les fleurs vont mĂȘme jusqu’à s’ouvrir Ă  mon passage et se referment dĂšs que je les quitte pour qu’aucun autre que moi ne les voie nues dans leur beautĂ©. Je n’ai pas encore l’ñge qui me donnent cette allure tourmentĂ©e que visiblement tu ne connais que trop. Et pourtant, je suis Ă  la fois aimĂ© et redoutĂ© de tous, du fragile enfant qui vient d’émerger de sa piscine vaginale au courageux guerrier qui a terrassĂ© tant de dragons. Car je te le dis sans craintes je suis PoĂšte. Et mes mots anesthĂ©sient de leur puissante et belle musique toutes les armes qui pourraient se lever contre moi. J’entonne des vers de triomphe devant Dieu et calme d’une douce berceuse l’Esprit Malin. Car je suis PoĂšte. . ." * . . .Il ne m’a pas paru nĂ©cessaire de vous rapporter plus encore les paroles de cet adolescent prĂ©-tentieux, il ne faisait de toute façon qu’enrober de paroles de satin sa derniĂšre affirmation il Ă©tait PoĂšte et le reste n’était que poussiĂšre d’étoile ! Pourtant sa prĂ©tendue puissance ne m’effrayait point. Au contraire j’aurais ri du triste sort que j’allais infliger Ă  cet outrageux paon si je ne m’étais pas tranchĂ© depuis des siĂšcles dĂ©jĂ  mes sanguines lĂšvres d’une lame de rasoir afin de ne plus jamais tenter mĂȘme d’esquisser un sourire. Et ma rĂ©ponse fatale transformera son pouvoir de gĂ©ant en impuissance d’eunuque "Ô toi qui sembles avoir fait l’amour avec la sĂ©raphique lyre d’Érato ! Ô toi en qui semblent couler tous les majestueux alexandrins qui serpentent entre les rĂ©cifs des six ocĂ©ans depuis l’aurore bĂ©nie oĂč le CrĂ©ateur signa de Sa plume d’or notre planĂšte oĂč tu sembles rĂ©gner en prince ! Ô pauvre et stupide oiselet, je tremble en effet devant les arpĂšges que tu viens de me rĂ©citer ! Je frissonne Ă  la seule pensĂ©e de ton avenir qui s’est d’ores et dĂ©jĂ  retournĂ© pour se glisser derriĂšre ton dos ! Quel misĂ©rable et infortunĂ© embryon es-tu, toi qui n’as pas eu le bonheur inestimable, ni la chance infinie de me rencontrer plus t, avant que les larves de tes propres paroles puissent s’écouler comme elles viennent de le faire ! Quelle erreur as-tu faite de ne pas avoir su dompter les seize vents qui auraient pu pousser ton destin jusqu’à mon jugement avant que celui-ci ne fĂ»t le dernier ! Car tu n’es pont poĂšte, non ! Depuis que tu as eu l’affront de t’affirmer ainsi, la laideur de cette assertion t’a Ă  jamais privĂ© de sa concrĂ©tisation. Quoi de moins poĂ©tique que celui qui se vante de l’ĂȘtre ? Et toi, tu n’as jamais fait qu’essayer de tenter d’esquisser les Ă©bauches du seul vers sorti de ta bouche putride, le seul qui aurait pu oser prĂ©tendre s’avancer Ă  tĂątons vers l’ombre du reflet d’une modeste poĂ©sie." À ces mots encore rĂ©sonnant de vĂ©ritĂ©, celui qui s’imaginait abriter en son corps l’infinie combi-naison de lettres qu’il sera jamais possible de chanter, Ă  ces mots dont il avait toujours ignorĂ© le sens, le jeune homme se donna la mort puisque c’était lĂ  le seul cadeau qu’il puisse accepter recevoir de sa propre personne qui n’était dĂ©jĂ  plus qu’une moisissure de charogne. * Peut-ĂȘtre ne tremblez-vous pas encore aprĂšs avoir Ă©tĂ© contraints d’écouter l’introduction de mon chant. ĂȘtre mĂȘme que vous doutez d’avoir l’ouĂŻe rassasiĂ©e de si peu de voluptĂ© musicales. Peut-ĂȘtre encore que vous n’avez mĂȘme pas entendu la plainte du blond puceau de ma derniĂšre strophe qui vient juste de s’émasculer avant de faire jaillir d’un seul coup son sang, mais d’un coup si sec et tranchant que son aorte ainsi sectionnĂ©e faisait jaillir ses globules vermeils de telle sorte qu’en ouvrant sa bouche pour clamer sa douleur, il but tout le sang qu’il versait. Et ce sang, tant de fois Ă©jectĂ© puis rĂ©gurgitĂ© arrivait encore Ă  prolonger durant des secondes aussi cruelles qu’interminables l’agonie de l’ange dĂ©chu, perdu sans son aurĂ©ole. Pourtant je n’en suis qu’à la GenĂšse de mon chant mortuaire. Tout reste encore Ă  venir, ou plutĂŽt Ă  disparaĂźtre. Mais vous ne pouvez plus maintenant Ă©chapper aux gammes assourdissantes qui vont dĂšs lors se dĂ©verser comme un torrent que mĂȘme les plus solides rochers n’arrivent Ă  stopper dans un Ă©cumage infernal rĂ©flĂ©chissez bien au sens de ce mot. Maldoror Ă©tait un monstre de bontĂ© comparĂ© Ă  l’ombre hideuse qui obscurcit mes desseins apoca-lyptiques. Et la damnation de Faust n’est tout au pire qu’une bĂ©nĂ©diction face Ă  l’impitoyable destin dans lequel mes strophes sataniques . . . ! vous poussent.. de plus en plus. . .comme un corsaire me-naçant de son sabre le condamnĂ© sur sa planche qui ne peut plus prĂ©tendre Ă  rien sauf Ă  devenir un agglomĂ©ra charnel de sacrifice pour de fĂ©roces requins. Certes je suis arrivĂ© Ă  mesurer la solitude incommensurable des Ăąmes de la PoĂ©sie. Mais dĂ©sormais je ne suis plus seul dans mon combat contre votre espĂšce entiĂšre dĂ©jĂ  mon ombre ne me trahit plus, elle est le tĂ©moin de tous mes actes sanctifiaires. Et lorsque la mĂ©moire me manque pour vous narrer ma chanson, c’est elle, ma fidĂšle et richissime compagne noire, qui m’en rappelle les couplets. Mais je l’ai dĂ©jĂ  dit, vous n’avez assistĂ© jusqu’à maintenant qu’à la GenĂšse enscoliosĂ©e de mon impitoyable gĂ©nocide sans rĂ©mission. N’en doutez point. Écoutez pour vous rassurer, cette plainte que le hĂ©ros de ma prĂ©cĂ©dente strophe n’a eu que trop le temps de clamer. ET son Ă©cho rĂ©sonne encore dans le labyrinthe miroitant de mon chant-amour. * Que voulez-vous que je fasse avec cette crĂ©ature que l’on dit si merveilleuse, si empreinte de sublime magnificence ; on affirme que le CrĂ©ateur l’a Lui-mĂȘme enfantĂ©e pour montrer Ă  l’espĂšce humaine Sa divine beautĂ© ; que voulez-vous que je fasse de celui de qui l’on prĂ©tend la possession des suprĂȘmes pouvoirs, censĂ©s ne perdre aucun combat dans aucune guerre, mĂȘme celle qui vit la colombe mourir en son sein ; que voulez-vous que je fasse avec cet ĂȘtre inspirĂ© de l’image des anges et que l’on nomme Amour ? Il doit ĂȘtre banni ! Exclu de vos conversations et de vos pensĂ©es ! De quelque sorte qu’il soit, l’Amour ne peut plus exister dans un monde oĂč j’ai dĂ©cidĂ© de chanter ma haine de l’entiĂšre race humaine et oĂč mes refrains rĂ©sonnent jusque dans le cƓur des volcans et l’ñme des ocĂ©ans. Chassez de votre stupide conscience
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